J' étais allongée, regardant mon plafond. Je repensais au mal que j' avais subi pendant 8 mois de vie à deux. Il m'avait brisé, je me suis promise après ça ne plus jamais aimer quelqu'un et je profitais des hommes. Je savais que je n'étais pas toute blanche et que si je n'avais pas était ce que je suis rien de tout cela ne serait arrivé.
Il s'appelait Josh, Josh Peterson il avait les cheveux long de la couleur du miel avec un teint bronzé sans même avoir été au soleil quelques taches de rousseur perlaient sur ses joues et il avait des lèvres que beaucoup souhaitée goûter. Ses yeux noisette complétaient le reste de son visage. Son corps quand à lui était imposant il avait les épaules large et carré, le ventre plat sans pour autant avoir d'abdos.
Il était le genre de personne avec un physique idéal.
Toutes les filles étaient à ses pieds quand à moi, son arrogance m'enivrer de dégoût.
Comment en étais je arrivée là ?
Tout simplement, la partie de moi la plus refoulée avait fait son entrée pour la toute première fois : Amoureuse
Cat était comme on pourrait dire une grande romantique, passionnée par les romans à l'eau de rose et rêvait de son prince charmant tout les jours.
Il était face à moi le regard balayant de droite à gauche à l'affût sûrement d'une potentielle nouvelle proie assez naïve pour tomber dans ses filets.
Nos regards se rencontrent au moment où nous nous sommes percuté laissant tomber mes affaires que j'entourais 3 secondes auparavant de mes bras, je me relevais difficilement prête à ce que Sagesse switch avec Colère mais non nos regards se recroisent et sans pour autant se détournait de moi, il ramasse mes livres qui étaient encore au sol afin de me les redonner.
« - Moi c'est Josh
- Je sais qui tu es !
- J'aimerais pouvoir en dire autant, il sourit »
J'haussais les sourcils, prête à partir commençant à tourner les talons quand soudain il m'attrapa par le bras
« -Du coup tu es ?
- Ella »
Je baissais les yeux tout en ayant une sensation de fatigue puis de switch, un nouvel altère !
Je partis en courant sans me retourner
Qui y aurait cru que la nouvelle proie, c'était moi.
