Depuis sa mort, il essaye de l'oublier..
Mais cela fait des siècles qu'il n'a jamais rien
ressenti si ce n'est la haine envers celui qui lui a
volé celle de ses jours et de ses nuits.
I...
Je me balader dans un amas de tournesols et respirer le grand aire que c'était. On est samedi est aujourd'hui mon père travail au commissariat. J'ai décider de faire un tour dans les champs me changer les idées.L'air est si doux par ici.
C'est là que je v'y une silhouette plantée entre les tournesol vouter comme un enfant qui aurait perdu sa mère. Je m'approche de cette si grande silhouette humaine et pose ma main sur son épaule.Un grognement ce fait entendre et la main de cette silhouette attrape la mienne en me tirant contre son propriétaire. La chaleur corporelle de ce qui semble être un jeune homme est et me brûle littéralement le coeur.La personne ce tourne face à moi et sans que je m'y attende,se mit à enlacés mon corp et il avait l'air de pleuré contre moi.Je le l'empêche pas le laisse dans mes bras et étrangement,ça chaleur procure en moi une sensation de confort et de bien être.
Deux jours plus tard...
Je me force à me réveiller de mon sommeil,je ne doit pas dormir au self.Je sens un petit tapotement de la part de Chaeyoung. La raison de ce dérangement est suptil :
—Jen'!Jen'!Regarde IL EST LÀ !!
Je me lève de force et regarde par la direction que Lisa et elle n'arrête pas d'épier :
—C'est In !
—Jong-in,le garçon le plus populaire de tous le lycée !Qu'elle dommage qu'il soit si souvent absent..
C'est pour ça qu'elle m'ont réveillé ?
—Jennie,tu as fait quoi cette nuit pour être si fatigué ? ~
Elle marque un temps de pause avec un sourire en coin :
—Je réviser.
Je les vois sourire perversement :
—Tu devrait sortir Jen',tien ce soir un ami organise une soirée éxclusive avec champagne et BG à gogo,viens tu verra qu'en Corée on s'amuse autant qu'en Amérique !
—Je ne suis pas du genre à sortir pour aller voir des garçons..
—Aller !
Une silhouette qui semble être celle que les deux n'arrête pas de louanger arrive vers notre direction :
—Je peux te parler.
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Le regard de mes deux camarades se font aisément lourd sur moi :
