J'ai versé la mer de mes pensées
Dans le creux des doux nuages enlacés
Et le ciel s'est emplis du monde.
Un monde absurde où le souffle gronde
Sans jamais s'arrêter, sans jamais s'apaiser.
Un menteur caché par delà la brume.
Rêveur torturé, il est temps de se lever.
Quel est ce parfum amer que tu humes ?