Prologue

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Ce livre, je le réécris, car j'ai perdu les identifiants de mon ancien compte ou j'avais initialement écrit cette histoire et, car le style d'écriture ne me correspondais plus, du coup j'avais perdu l'envie d'écrire.

Pour cette histoire, oublier la septième année du trio d'or. Ce prologue est fait pour recontextualiser, car sinon vous allez être un peu perdu. Donc, Mcgonagall est directrice, le ministère de la magie n'est pas tombé, la terreur n'est pas encore là (le chemin de Traverse par exemple, n'est pas détruit) et on a découvert que Narcissa et Bellatrix n'avait aucun lien de parenté, vous serez le reste dans ce prologue.

Dans ce prologue, il n'y aura aucun dialogue. Ne vous en faites pas, même s'il paraît très dûr à lire, ce n'est pas le cas. Pour les chapitres, il y aura de tout : description, dialogue, scène d'action, de combat ou même peut être, si vous êtes sage et que vous le voulez, un lemon...

 Pour les chapitres, il y aura de tout : description, dialogue, scène d'action, de combat ou même peut être, si vous êtes sage et que vous le voulez, un lemon

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À la sonnerie, tout le monde cria. Les parchemins volaient, les encriers secouer, laissaient de longues traînées noires qui gisaient sur le sol, certaines plumes virevoltaient, légère et gracieuse. Tout le monde s'activait, certains se bousculaient, le brouhaha ambiant ne cessait de monter. Je rangeais ma plume, mes livres, mes parchemins, puis je pris le chemin, direction mon dortoir. J'essayais tant bien que mal de me frayer un petit passage dans ce joyeux bazar qui était la fin de l'année scolaire. Pendant mon périple jusqu'au tableau de la grosse dame, je me remémorais l'odeur de l'encre sur un morceau de parchemin, la sensation de mes doigts sous ma grande plume, le cliquetis de l'horloge qui tourne et le doux son des rires de mes amis.

Quand j'arrivais à mon dortoir, je rassemblais rapidement mes affaires, ensuite, je cherchais mon chat. Après avoir fini de boucler mes valises, je fis un dernier tour de chambre. Je posais mes doigts sur les draps et les faisaient glisser jusqu'à remonter le long de l'armature en bois du lit à baldaquin, je m'enivrais de l'odeur de l'école. Je pris la lanière en cuir de mon sac de ma main droite, et la cage de mon chat de l'autre. À l'encadrement de la porte, je jetais un dernier coup d'œil avant de la refermer, d'un geste brusque. Une vague de souvenirs m'embauma et une fine larme de nostalgie coula sur ma joue. L'année était clôturée, une année riche en émotions, auprès de mes amis, de ma famille et de l'endroit que j'aimais tant, Poudlard.

Je descendis une dernière fois à la salle commune, et après avoir passé le tableau, je dévalais les escaliers jusqu'à la grande salle. Je posais mes affaires contre le mur de pierre, avec les centaines d'autres sacs et rejoignais mes amis qui m'attendaient à table. Après un discours du professeur de métamorphose, nous dégustions ce dernier festin. Finalement, nous rejoignions le Poudlard Express, et nous partions pour la gare King's Cross. Malgré que je revienne l'année prochaine à Poudlard, je ne peu m'empêcher d'être un peu nostalgique. L'année prochaine sera sûrement la plus éprouvante, il y a les examens de fin d'année pour commencer, rien que cela !

My life is a lie. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant