Par amour - Chapitre 1

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19h50, je l'avais fais 20 minutes, la route du bureau jusqu'à chez nous avais été une des choses les plus stressante de ma vie, entre les nombreux feux griller, et tout qui allait à cent à l'heure, mon coeur battait la chamade.

Mon coeur qui était déjà a bout ne savait même pas encore que tout cela venait juste de commencer, le long du trajet, la peur et la panique m'avaient gagné.

Alors que j'arrêtais silencieusement la voiture proche de la maison, j'avais du mal à lâcher le volant, comme si mes doigts avait fondu dedans.

Avec le stress mes mains avaient du mal a m'obeir, le stress et certainement un souci de pression sanguine aussi, mes doigts étaient tellement crispé sur le volent que je me retrouvais avec d'énorme marque rouge sur les deux mains.

Me rappellent de pourquoi j'étais si stressé et de pourquoi j'étais si pressé j'ouvrais la portière de ma voiture en trombe. Puis mit rapidement pied a terre.

J'étais fasse a notre maison, situé dans un quartier résidentiel avec des voisins a proximité des deux côtés de celle-ci.

Cette maison était plutôt modeste et moyenne, avec un petit jardin sans clôture à son entré.

Peinte d'un blanc pur avec un toit de tuile rouge elle avais une allure rassurante, même de nuit. Surtout lorsque les deux lanternes qui servait d'éclairage à la porte d'entrée était allumé.

En parlant d'éclairage ceux si était tout deux éteint, ce petit détail bien que stupide permettait de voir le véritable problème.

La porte d'entrée était entrouverte, est jamais que ce soit moi ou Anaïs n'aurai laisser la porte entrouverte surtout de nuit.

Il était la a l'intérieur avec elle, la peur prenant possession de mon cerveau je m'élancais a pleine vitesse à travers le jardin.

Lorsque ma logique repris brièvement le dessus, je m'arrêtas net.
Au milieux de ce petit jardin je m'étais enfin mit  à réfléchir.

Il savent que je vais venir, il m'attende peut être, et son peut être même plusieurs, je n'avais aucun intérêt à arrivé en trombe.

Bien que je sois tenté en ouvrant la porte violemment comme un hero de hurler "Chérie je suis la ! Je vais te sauver" ou "Chérie où est tu je suis là" comme on en voit dans certain film.
Je n'avais rien à gagner à me montrer bruyant a par nous sacrifier tous les trois, elle et le petit.

C'est alors discrètement, mais toujours soumis au pire des stress que j'ai put resentir dans ma vie que j'approchais doucement de la porte.

Je pourais certainement avoir le dessus sur un seul homme, avec l'effet de surprise, ou bien au moins en surprendre un s'il sont plusieurs.

Poussant lentement la porte, j'enterai dans notre maison, pourtant si rassurante en temps normal, mais devenu si effrayante et froide au vu de la situation.

Je restais sur mes gardes, personne a l'entré, rien de louche dans les coins, personne ne me tentdait d'embuscade dans l'entrée.

Anaïs n'avais jamais été très ordonnée, mais je savais que le bazar immense dans les pièces avoisinantes et sur le sol, ne venait pas d'elle tout était reversé, elle c'était défendu dans toute la maison.

Je sentait doucement mes jambes me lâcher, il était là, il l'avais proche d'eux quel qu'il soit.

Tout ce cauchemar était bien réel, j'espèrais juste arriver a temps.

D'un regard pressent je sondais le moindre indice de sa présence.
Au fond de moi je voulais hurler son prénom, mais je ne devais pas.
Je me retenait avec amertume par sécurité. Espérant que cela ne compromette pas ma présence

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 22, 2019 ⏰

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