Pas un mot rien, Mathieu m'as simplement piégé dans les toilettes du lycée. Qui d'ailleurs m'accueillait quand je devais rattraper des devoirs de français à faire pour la veille. Son regard était vide mais ses gestes était d'une précision dignes des meilleurs horlogers suisse.
Il as fallu à peine 4 secondes à ce mec pour me dévêtir l'entre jambe.
Il as simplement arracher mon pantalon de jogging bleue onyx et mon boxer acheté au marché local quelques semaines avant. Pour que je me retrouve le sexe endurcie à l'air. A la mercie des mains, de ce ravisseur ravissant.
J'ai entendu le tintement de la ferraille de sa ceinture contre le cuir de cette même pièce. Signal inoubliable qu'il avait également libéré sa gigantesque bite bordé de poils long et blond, tout entortillé les uns avec les autres. Marque d'une pousse abondante certes. Mais aussi preuve que cette merveille que compose l'appareil génital masculin. Reste cloisonné
la plupart du temps, dans un caleçon de créateur américain. Il me force à me poser sur mes genoux d'un naturel déjà fragiles, alors qu'il pense tout juste à s'extirper de la pièce de cotton qui étouffe et réchauffe son torse.
Toujours muet, j'ose relever le menton pour contempler ce maître qui semble d'une hauteur vertigineuse comparé à moi. Peu après, il m'as forcé a étendre les muscles de la mâchoire et à accueillir sa monstrueuse bite.
Volumineuse, humide et ardente je ne garde pas un très bon souvenir de cette première partie, de ce qui s'était goupillé comme étant mon depucelage. Quand as lui, il m'enfonçait le crâne pour que je réussisse à avaler toujours plus de chair. Jusqu'à ce que mes lèvres effleure les cheveux blond qu'il possédait sur son entrejambe. A ce moment je me souviens qu'il as simplement laissé s'échapper un rire amusé, sûrement a cause du fait que j'ai été capable de supporter la taille de sa queue. Mais visiblement je devais mal m'y prendre, car même en plaquant ma langue contre sa verge, et en projetant de la salive contre son gland salé. Il se retira de ma bouche, ce qui m'arrangeait plus que tout autre chose. Mais putain, sentir mon anus se dilater. Par l'unique pression d'un penis en érection guidé par un mec suant à grosse goutte et qui t'agrippe par les cheveux. Est une sensation que je ne souhaite à personne de ressentir un jour. Et alors que je le laissait s'enfoncer dans mon anatomie sans que j'éprouve le moindre plaisir. Il s'est mis à faire des allers retours, ce n'était plus une seule bite que je devais gérer, mais bien une cinquantaine. Chaque aller et retour me faisait un mal de chien, et à force que je sentait mon trou du cul s'élargir, lui poussait simplement des grognements. Mélange de plaisir et de frustration de ne pas pouvoir me la faire sortir par la bouche, je pouvais quand même percevoir, que la sensation lui plaisait. Tout semblait tellement être excitant pour lui, qui as commencé à gémir de plus en plus fort.
Jusqu'à ce qu'il me balance.- Je vais cracher !
L'éjaculation est la plus belle chose à observer chez un homme, il ne pense plus, il n'agit plus, il se libère. Tout simplement il se force à projeter, ce liquide blanchâtre, visqueux et épais. Et moi je ressentait chaque jet de sperme qui provenaient de ses entrailles, m'envahir de toute part. Pour finalement s'échapper par le même orifice, d'où il as été injecté. Sans perdre de temps, le créateur de ce liquide remontâ son caleçon, et par la même occasion il partit loin de moi et de mes fesses. Emplie du foutre d'un mec, à qui je n'avais rien démander de plus qu'une paire de ciseaux auparavant.
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Histoire érotique numéro 1
RomancePas d'attentes. Pas d'hypocrisie. Pas de jugement. Simplement un texte qui décrit la première expérience sexuelle d'un garçon dans les toilettes de son lycée. (Copier si vous voulez, ça me fera de la pub de toute façon)