partie 18

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1 mois plus tard

Un mois était passé et je travaillais toujours chez hadjia mariama, à part les petites piques de faiza , tout va mieux alhamdulillah.
Quant à ce dan hadjia, j'appelle abubacar avec ce nom , il n'arrête pas de me faire des coup foireux, moi qui pensais que quand il commencerait sa vacation dans une clinique privée j'aurais du répit et bien je me suis trompée, la dernière fois, il m'avait éclabousser avec de la boue alors que j'attendais un taxi pour rentrer à aéroport.

*
Je viens juste de prendre une douche, et me prépare pour rentrer à aéroport  , j'ai déjà finit toute les corvées de la maison et comme aujourd'hui je n'ait pas cours , je pourrais me reposer avant de quitter vers 13h00mn,   hadiza est à la maison vue qu'ils sont en grève, ehhh les étudiants là toujours ils sont en grève...

Je rentre à l'intérieur de la cuisine pour me prendre un verre d'eau, je trouve faiza à l'intérieur mais je ne l'a calcule même pas.
-faiza: espèce de petite pute, tu ne vois pas que tu m'as bousculé.

Je ne l'a calcule toujours pas jusqu'à ce qu'elle commença à me tirer les cheveux tout  en m'  insultant .

Alors là , je vois rouge, sans la laisser le temps d'en placer d'autres mots, je sauta sur elle. Déjà que mademoiselle est mince mais pourtant elle n'arrête pas de me chercher, je l'a rua de coup. Elle me suppliait de la laisser mais c'était peine perdue. J'avais besoin de me défouler depuis longtemps, soudain j'entends les cris de hadjia mariama.

-sakina s'il te plaît laisse la.

La voix de hadjia me stoppa net, tout d'un coup , je regrette d'avoir frapper faiza même si elle l'a bien mériter.

Je me leva toute honteuse ,Sur le seuil de la porte je rencontre le regard de abubacar qui n'avait rien raté de la scène.
-lui: sauvage un jour, sauvage toujours me lança t il avec dédain.
Je ne lui réponds pas et partie me réfugier dans ma chambre.

-hadiza: fait attention frérot avec tes mots, tu peux la blesser, elle n'est pas aussi forte que tu ne le crois, tout comme toi, elle a un lourd passé.....

-hadjia tu vois ce que ta petite protégée m'a fait pleure faiza.

-si toutefois tu ne l'avais pas provoqué , vous en seriez pas là.

-don c'est de ma faute

- sakina ne t'a jamais provoqué alors je mettrai ma main à couper que c'est réellement toi la coupable

Puis tout le monde s'en alla la laissant toute seul.

Hadjia mariama retrouva sakina avec une valise à la main.

-mais ma fille que fais-tu avec cette valise.

-moi: je croyais qu' après ce qui s'est passé, tu allais me renvoyer du coup je me suis préparer.

-hadjia: tu me crois capable de te chasser parce que tu as corrigé cette chipie? Jamais je ne le ferai, je te considère comme ma fille et cela depuis le jour où nos chemin se sont croiser.

Je me  baisse sur les pieds de cette dame pour pleurer, me faire pardonner. Hadjia mariama a prit soin de moi d'une telle manière qu'elle me fait rappeler le fait que j' ai perdu ma  maman.

-moi: hadjia, pardonne moi s'il te plait, c'est que mon passé reste cloîtré dans ma mémoire, j'arrive toujours pas à me défaire de ce lourd fardeau.

-hadjia: pourtant il le faut. Dit elle en lui caressant les cheveux. Tu dois ouvrir un nouveau chapitre de ta vie...
Ainsi hadjia continua à lui donner des conseil pendant presque 2heures.

Une fois calme, sakina décida d'aller chez tante hinda . Hadiza aussi voulais y aller, car elle s'ennuyait sans sakina disait-elle, bien-sûr elle a demandé la permission à hadjia qui a accepter sans broncher.

20heures

On est tous sur le matelas entrain de se marrer, farida nous a raconté une histoire drôle avec son ex, j'en ai tellement ris que mon ventre me fait mal, ma tante hinda est déjà entrain de dormir dans la chambre.

-farida: bon toi sakina, t'attend quoi pour te trouver un mec han?

-hadiza: wallahi très bonne question, depuis quelques temps il y a un gas qui n'arrête pas de l'a harceler, je lui ai demander de lui laisser une chance mais elle ne veux pas m'écouter.

-ne me dites pas que vous allez ramener sa sur le tapis encore.

-farida: tu sais que tu devras un jour côtoyer  les garçons.

-moi: oui je le sais mais j'ai peur, avec tout ce qui s'est passé...

-farida: tu dois allez de l'avant.

-moi: offff changeons de sujet.

-hadiza: au fait le mardi ce sera l'annif de mon frère, et j'ai besoin de toi, car je veux lui organiser une énorme fête.

-moi: une fête surprise??

-hadiza: non, il m'a choisit comme organisatrice et tu sais que je ne pourrais jamais tout faire toute seule.

-moi: vraiment je ne vois pas pourquoi je t'aiderai , tu sais pertinemment que moi et ton frère , c'est comme chat et chien.

-hadiza: alez s'il te plait ma petite chérie accepte , tu sais bien que jamais je ne demanderai à faiza de m'aider, en plus maman ne sera pas là, elle va partir à un mariage au zinder le lundi incha allah, en plus elle fera une semaine là bas.

-d'accord, mais dès que ton frère me fait un mauvais tour , j'arrête tout.

-farida: mdrrr, donc genre, c'est une condition, hum donc ces deux là ne s'entendent pas.

-hadiza: ces deux là sont toujours entrain de se chamailler, on dirait tom et jerry, et le comble c'est qu'ils ne se rendent pas compte qu'il ont beaucoup de choses en commun.

-moi: à bon?? Comme quoi??

-hadiza: vous avez tout les deux été trahis par vos proches...

-moi: je comprends pas??

-farida: anya dey, pourquoi tu veux tant savoir. Koday koday.

-hadiza: koday koday.

-moi:hum vous là, vous êtes folles , bon moi je m'en vais dormir.
-farida: toi là, on en reparlera.
Puis on s'en alla se coucher...

Je me demande bien de quoi hadiza...

À suivre




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