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And we're winnin'
We're the champions
We're still standin'
We're the losers!

Pdv Y/n:
Après cinq minutes, Ben tourna dans la cour d'une maison, que je déduis être la sienne. Tout les losers laissèrent leur vélo au sol et Eddie me laissa débarquer avant lui. Richie étant le stupide humain qu'il est, laissa sa bicyclette derrière celui d'Eddie, se qui créa sa chute. Richie se retourna pour voir se qui se passait et partit a rire à mes côtés. Eddie se releva après quelque seconde de grognement et d'insulte basse. Rich et moi étions en train de se rouler de rire sur le sol, quand je me sentis faiblir tout d'un coup. J'arrête soudainement de rire et je ne vit que du noir. Mon cœur commença à battre très vite et je me sentis très mal. J'entendis Richie arrêter de rire.

- Y/N!? J'entendis Eddie et mon frère crier.

- Y/n!? Répond moi!? Tu- tu vas bien? Me demanda mon frère.

- J-je... n-n-ne v-voit... r-ri-rien et m-mon coeur b-bas t-t-t-trop... vi-vite... sac... mon... s-sac. J'entendis des personnes se presser autour de moi.

- Eddie! Passe moi son sac!?

- Tiens! Dis t'il, après m'avoir doucement relever les épaules pour prendre mon sac et avoir déposé ma tête sur ses genoux. Je sentis des doigts ôté les cheveux de mon visage et je sus que c'était Eddie. Il respirait vite et fort. Je lui pris doucement la main.

-Ed-Eddie, respire lentement e-et doucement, j-je vais bien... Sa respiration se calma et je sentis une main se posé sur mon menton.

- Y/n, j'ai besoin que tu ouvre la bouche pour tes médocs. Aller! J'ouvris la bouche et j'avala les médicaments. Doucement, je recommença à voir, mais ma respiration devenait de plus en plus rapide et saccadée...

- Y/n?! Tu n'as pas de inhaler, hein? Je fis non de la tête, inquiète. Je n'était pas capable de calmer ma respiration. Et le moment que j'attendais arriva. Ma respiration se bloqua. Sans plus attendre, Eddie posa ses lèvres contre les miennes et commença à me donner du souffle. Je retrouva ma respiration et il se décolla. Richie nous regarda choquer, puis il mis un bras autour de mes épaules ainsi que ceux d'Eddie.

- Oh, dieu merci! Merci Eddie! Merci vraiment! Ça va Y/n?

- O-oui, merci Richie, merci Eddie. Me rendant compte de se qui venait de se passer, je rougis, gêner.

- De-de rien Y/n... Il me souris gêner et il se releva, avant de m'aider à me relever avec Richie. Je serras Eddie dans mes bras et le remercia une autre fois.

- Heyy! Et moi? J'ai rien?! Je rigola avant de le prendre dans mes bras a mon tour, de le remercier et de lui donner un bisou sur la joue.

- Qu-qu'est-ce v-vous faites? R-r-rentrez! Dis Bill de la porte. Quand il détailla la scène, il vit mon sac à dos ouvert, les contenant de médicaments éparpillés sur le sol et mon visage rouge. Ça v-va, Y/n? Me demanda t'il inquiet.

- J-Je vais b-bien, merci. Vite fait je rangea mes médocs avec l'aide des garçons et entra dans la maison. Bill nous dirigeais vers une chambre avec les murs remplis de fiches de disparition ou encore d'articles de journaux.

- Wo wo wo... woaaah! S'exclama mon frère.

- C'est classe, hein?! Demanda Ben, fière.

- Euh... nan! C'est pas classe du tout! Dis mon jumeau. Je vois rien de classe.

- Aaaah, ça c'est peut être classe... Mmh, nan, enfaite non! Pas du tout. Nan, ça non plus... Rajoutais-je. Je me tourna vers mon frère et remonta ses lunettes.

- C'est quoi? Demanda Stan.

- Ça? C'est la charte de fondation de Derry.

- Le truc trop chiant! Dis-je en même temps que Richie.

- Non, enfaite, c'est vraiment intéressant. La région a été connue pour la fourrure et la-

- Et la fourrure ça nous connais, pas vrai sœurette?! S'exclama Rich en levant une main en l'air. Je tapa dans sa main et ria avec lui.

- Derry a été fonder par 91 personnes, mais pas longtemps après... pendant l'hiver tout le monde a disparus.

- On ne les a jamais retrouvés? Demanda le jeune Kaspbrak.

- On a dit que c'était peut-être les indiens, mais il y avait aucune trace d'attaque. Alors on a finit par dire que les maladies les avaient décimés... mais en faite, c'est comme s'ils s'étaient réveillés un matin et qu'ils étaient tous partis. Tout se qu'on a retrouvé est quelques vêtements ensanglantés entre le campement et le puit. Raconta Ben. Je frissonna et sentis la main d'Eddie se mettre dans la mienne. Je me calma aussitôt et me sentit apaisée.

- C'est dingue, cette histoire... il faut que tu passe à la télé. Ed et Rich commencèrent a se chamailler, mais je ne portait plus trop attention. Je regarda les feuilles accrocher au murs et mon regard s'arrêta sur une fiche de disparition. C'était Georgie... Bill me l'avait présentée quelque jour avant qu'il ne disparaisse subitement, un jour d'orage. Sa fait maintenant neuf mois qu'il est déclaré disparu.

- C-ce p-p-puit, il est où? Demanda Bill.

- Bah... j'en sais rien, sûrement quelque part en ville. Pourquoi?

- Nan, comme ça... Puis je vis le regard de Bill se posé sur l'affiche de son frère. Ben regarda à son tour et vit l'affiche. Enfin, il eu l'air de réaliser quand il lis « Georgie Denbrough ». Il fit un visage choquer et puis dit.

- Je... je suis vraiment désolé Bill... je, je ne savais pas.

- C'est p-p-pas gra-grave. Et il se retourna vers les petits plan de ville qu'il regardait depuis un moment. Je me retourna vers une image et je vis... deux têtes... décapités... celle que pour rien au monde je ne voudrais voir comme ça... il... il y avait celle de Richie et de... d'Eddie... Je commença à paniquer et je resserra plus fortement ma main sur celle d'Eddie. Il me regarda et m'interrogea du regard. Je lui pointa l'image et  il l'a regarda.

- Ouais... qu'est-ce qu'il y a? Me demanda t'il en détaillant l'image à son tour. Je retourna mon regard vers celle-ci et vit que les deux crânes avaient disparus.

- Je... j-je, non. N-non r-rien. Dis-je. Eddie serras ma main et me souris gentiment. Je sentis mon cœur fondre et mes joues brûlées. Je tourna la tête et vit que Richie nous regardait.

- Je croit qu'il faudrait y aller nous. Il commence à se faire tard et je veux pas qu'il t'arrive quelque chose d'autre. Me dit mon frère. J'hocha la tête et commença à partir, mais me rendit bien vite compte que je n'avais aucun moyen de « transport » pour retournée chez moi, car Richie était plein de boue.

- R- Rich... j-je n'ai p-pas de vélo e-et tu es sale...

- Tu peux prendre le mien!? Je ne vis qu'à une rue d'ici. Me proposa Eddie gentiment. Je lui souris et lui fit un baiser sur la joue.

- Merci b-beaucoup Ed, merci encore p-p-pour toute à l'heure aussi! Bye et à demain les losers! Mon frère et moi partir vers la maison, lui avec sa bicyclette et moi, avec celle d'Eddie... Je souris en repensant à ce qui c'était passer et me reperdit dans mes pensées, encore une fois...

une LOVER avec les LOSERS (x Reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant