Rey-Miguel

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Rien qu' un bar pour vous relaxez un peu et faire le vide tout là haut.
Oublier les obligations, les devoirs, les responsabilités en tant que fils d'un milliardaire...
Oublier.....
Je suis déjà à mon cinquième bière et j'y compte pas y aller mollo.

- Miguel... Miguel ici la terre.
- Quoi?
- Tu vas te coller une gueule de bois si tu continues.
Qu'est-ce qui te tracasses?
- Parle pour toi.
- Quoi?
- J'ai bien vu après le gym tu étais ailleurs et tu n'arrêtais pas de sourir.
- Ah, dit il d'un ton rêveur, si seulement tu savais...
- Quoi? Une nana? Encore? T'en ai à combien là ?
- Arrête, là c'est différent.
- J'en étais sûr, une nana...
- Ouais une nana, et magnifique même, dit-il toujours dans son regard lointain.
- Tu m'en diras tant après quelques semaines.

Soudain, il fesait chaud, bien trop chaud même et tout tournait dans ma tête, j'voyais trouble, précisément les gens devant moi s'était divisé en quatre.
Il faut que je sors m'aérer sinon j'vais pété tout sur mon passage.
Je me levai et je marchai, si seulement on pouvait appeler ça marcher, je suis mis à cadencé en allant de la droite vers la gauche.
Après ce qui me parus une éternité, j'arrivai enfin dehors.
J'inspirai une grande bouffé d'air que j'expirai sans perte de temps.

- Miguel?..... Mon amour.

Je ne bougeai pas d'un pouce n'ayant aucune envie de bavarder ni de faire l'amour à quelque soit la nana...
Qui me dit c'est moi p't'être un autre Miguel.

- Miguel, je te reconnais même de dos.

Y'a aucun doute c'était moi le Miguel dont elle interpelle.

- Miguel?.... Tourne toi enfin tu commence par me foutre la trouille.

- Qu'est-ce que tu veux? Dis-je en la fesant face. Mais une fois que c'est fait je regrettai vivement. Non pas elle, pas maintenant.

- Contente de te voir aussi mon coeur. Tu m'as manqué. Elle m'enlaça tout tant s'arrêtant pas de se tortiller contre moi.

- Pas à moi en tout cas.

- Tu empeste l'alcool. Remarqua t-elle tout en fesant des grands geste avec ses mains.
Je sais c'est à cause de l'alcool tu me traites ainsi, tu m'aimes trop pour me dire ce genre de conneries.

Je ne pus m'empêcher de rire. Elle est bonne celle là bravo!
Moi Rey-Miguel amoureux d'Aleandra, c'est la meilleure.

- T'aimer? Tu plaisantes j'espère? Ça doit être une plaisanterie, car je ne t'ai jamais aimé, pas une fois. T'étais juste une distraction, un passe-temps. Tu comprends ça?
Et jamais, je dis bien jamais je t'aimerais. Mets ça bien dans ta p'tite cervelle de moineau.
Je ne t'aime pas. Dis-je en prenant le grand soin pour les répété par syllabe. Cette fille à le don de me foutre en rogne.

- Je sais que tu mens. Repondit-elle en pleurant. Tu m'aimes je sais, cette nuit qu'on a passé ensemble était magique pour toi comme pour moi. Je sais et tu le sais. Continua-t-elle tout en essayant de l'embrasser.

- Arrête! Hurlais-je franchement je te plaints.
Sans perdre de temps je partis.
On ne pas resté seule quelques secondes c'était trop d'mander ?
J'la deteste franchement.
C'est pas mon genre de fille. Elle a des formes et des rondeurs, mais c'est juste pas mon genre.
Notre rencontre et notre aventure ne sait pas faites, comme pour tout les mecs.
Juste j'étais là et une sublime déesse est passée et ma taper dans l'œil.
Non c'était carrément et strictement différents.
Ce jour-là j'étais avec Cesar pour célébré le vingt-deuxième anniversaire de sa grande soeur Rimena.
Et comme Aleandra étais la meilleure amie de sa soeur, elle était invité.
C'était genre d'anniversaire sobre et barbant de tout les siècles, avec des musiques des années 80 et du jus d'orange.
Franchement du jus d'orange!
Mais Cesar avait l'agréable idée de nous conduire a leur réserve de tequilla.
Cesar buva plusieurs et

Tout de toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant