La chasse

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-Talis ne sera jamais de ton coté. Disai-je.
-Ça c'est ce qu'ont verra. Je peut me montrer très convaincant quand je le veut.
Je le fixait sans rien dire.
Ma main droite se crispait de plus en plus sur le manche de mon couteau.
-Tous ce que tu veut c'est qu'elle t'obéisse avant que tu ne la tue.
-Ah oui, et pas toi peut-être?
-Non. C'est différent.
Assaro se mit à rire.
-C'est vrai que Jeff the Killer préfère enfermer ces victimes puis les torturer avant dans finir avec elles. Doit-on préciser que toutes tes victimes ont toujours été des filles?
-La ferme! Ce n'est pas du tout l'une de mes victimes. Et elle beaucoup trop...enfin pas assez....
-Quoi? Tu es trop proche d'elle pour la tuer c'est ça? Je le vois dans ta tête. Quelle dommage que votre histoire d'amour finisse ainsi. Mais, quand on-y pense, il n'y a jamais eut de creepypastas amoureuses de simples humains et finsissant bien leurs vies.
Ma main partit toute seule et manqua de peut le visage de Assaro.
Il évita mon coup et me désarma en me planquant contre le mur.
Ces yeux rouges fixaient les miens et sa langue léchait ces deux canines pointus.
Il se rapprocha le plus possible de mon oreille et me souffla:
-Toutes les creepypastas regrettent un jour leurs actes. Je crois que ce jour est arrivé pour toi et que celui de Talis ne va pas tarder.
Son souffle froid se rapprocha encore plus de mon cou et ces canines ce plantèrent dans ma peau.
Il voulait me vider de mon sang jusqu'à ce que je meurs.
Cela ne faisait pas très mal mais au fur et à mesure du temps, je commençais à fatiguer.
Quelque chose lui fit lâcher sa prise. Je retombai sur le sol sans savoir ce qu'il c'était vraiment passé.
Étant apparement vider de trop de sang, je me suit évanouï.

Une sensation de mouvement du sol me réveilla peut à peut.
Lauthing Jack était entrain de me porter dans son dos tout en courant dans la forêt.
Les autres membres du groupe étaient avec lui.
-Par là. Il ne pourra pas nous suivre en haut de ce gouffre. Souffla Masky.
-T'es marrant. C'est pas si simple de grimper ce gouffre avec 50 kilos sur le dos. Grogna Lauthing Jack.
-Taits-toi et cours. Dit Liu.
C'était la première fois depuis des années que mon frère prenait ma défense.
Le groupe grimpa une pente raide au pas de course et s'arrêta soudainement.
Ils étaient en haut du gouffre et regardaient l'horizon en reprenant leurs souffle.
-On l'a échappé belle cette fois. Dit Hoodie.
-Heu...Je crois qu'on a un autre problème. Répondit Toby en se retournant.
Le groupe se retourna puis resta figer.
Je reconnu le loup noir aux signes argentés étranges par dessus l'épaule du clown.
Le loup nous fixait et se rapprocha lentement.
Il passa juste à coté de nous et observa le policier au bord du gouffre avant de reculer doucement.
-....
J'ai essayé de parler mais j'étais encore trop faible pour cela car seuls des grognements sortir de ma bouche.
Surpris de ma plainte, Lauthing Jack me posa à terre et tous m'observèrent.
Liu m'aidait à me tenir assis.
Le loup noir s'approcha de moi et se coucha collé à mes pieds.
-Même si Jeff vient de ce réveiller, il faut qu'ont bouge. Dit Eyeless.
-Il ne peut pas grimper par dessus ce gouffre. Laisse Jeff revenir à lui. Répondit Liu.
Ma vue était toujours un peut flou et j'étais très fatigué mais j'allais plutôt bien à par ça.
-Ce flic pourrai comme-même trouver un moyen de nous avoir ici. Continua Hoodie.
-....Le...le flic? Soufflai-je.
-Oui. Il nous poursuit depuis au moins 20 bonnes minutes. Il nous a vus près de chez lui après être sortit du cabanon pour te récupérer un peut en miettes. Expliqua Masky.
Je hochai de la tête.
-Maintenant, nous lui avons échappé et ce loup vient d'arriver. Finit Toby.
Je me suis tourné vers le loup et nos regards ce croisèrent.
Impossible! Sur le moment, j'ai crus voir....Non rien. J'ai dus sûrement rêver.
-Bon, il faut-y aller maintenant. Je n'ais pas envi de me reprendre une tempête de neige. Souffla Ben.
Lauthing Jack soupira en me reprenant derrière son dos. On se faufila dans les bois en marchant cette fois.
Le loup nous suivait également.
Au bout de quelques minutes de marches, nous étions arrivés devant un vieux pont en bois ou un panneau y était accroché.
                     Termina
-Bienvenue chez moi. Dit Ben en courrant sur le pont déjà bancale.
Il y avait une sorte d'île au milieu d'un marécage.
Et sur cette île, il y avait une maison faite en pierre et en bois.
-Ici, nous serons en sécurité. Le flic ne viendra pas jusqu'ici. Il a bien trop peur de cette endroit.

L'âme d'un meurtrier Où les histoires vivent. Découvrez maintenant