Sex friend

Chapitre1

Michel, 16 ans, ravi de faire votre connaissance. Actuellement, je cohabite avec mon père, il est tout pour moi. Il sait tout sur moi, par exemple mon homosexualité. Il l'a su avant même que je m'en aperçoive. D'après lui, je serais homo depuis l'âge de 5ans, vous imaginez. Je n'étais pas plus haut que 3 pommes à cette époque. Au moins il m'a accepté et a continué de m'aimer comme si de rien n'était et évidemment, grand comique de la vie, il en profite pour se marrer. Bon ma mère, que dire d'elle, à par le fait qu'elle soit une pute de première classe, je n'ai pas grand-chose à dire sur elle. Elle a couché avec presque la moitié des hommes et même femmes de cette ville. J'ai si honte. Mon ami se nomme Xavier Couture, il est grand, musclé, beau, intelligent.

L'homme parfait quoi, On se connaît depuis le jardin d'enfant Au début, je pensais qu'il était hétéro, mais il a prouvé le contraire. J'ai été choqué, mais je ne pouvais que l'accepté et je lui ai également avoué mon homosexualité. Sans rire, à première vue, on aurait dit un mec à meuf. Je dois dire qu'il a bien caché son jeu. Le jour où il m'a avouée être comme moi, fut aussi le jour où on est devenu sex friend.

                                                                              Flashback (1)

La sonnerie annonçant la fin des cours, avait enfin retentit. Yes!! Enfin la fin de semaine avait commencé. Je hais l'école, cette chose n'est que de pure merde. Qui a osé inventer ça? En tous cas il ou elle n'avait rien à foutre mis à part brisé le cœur des jeunes telle que moi. Bref, je vais à la table de mon meilleur ami. Comme toujours.

-t'es fous quoi? Lui demandais-je

- ça ne se voit pas? dit-il avec un minuscule sourire au coin de ses lèvres.

-ehhhh nan, c'est pour ça que je te le demande, tu ne vois pas que le cours est fini?

-ouais je sais, mais tu sais à quel point j'adore l'histoire. Je mets un terme à ce numéro et je viens. T'as qu'à m'attendre si tu veux ou déguerpir. Je te laisse le choix.

-pourquoi tu aimes cette matière à ce point?

-par ce qu...

-stop, plus un mot. Je t'attends à ton casier. OK?

-OK. À plus

-à plus

Sur ce, je quittai ce local de malheur, descendis les cinquante-cinq marches, ne vous en faites pas ça c'est juste du premier au deuxième étage, pour aller en math c'est pire, la salle de classe se trouve au

quatrième étage. C'est con, n'est-ce pas? Heureusement qu'il me reste qu'une année à passer ici. Puis liberté, enfin presque. Je vais à mon casier, fait mon sac à dos, là vous vous dites que pour faire son baguage il faut mettre de quoi à l'intérieur et bien pour moi c'est différent, il n'y a rien, pas même une feuille de papier. Selon moi, cette chose n'est qu'une décoration.

Que c'est beau!

Je ferme mon casier désorganisé et crapahute jusqu'à celui de Xavier. J'appuie mon dos contre le truc et je l'attends.

-dit Michel, tu penses que ta mère accepterait de me sucé ce soir ahahahahaha. Lançait Samuel un conard qui a pris l'habitude de m'intimidé.

-pourquoi, ta maman ne veut plus ? Dis-je sérieusement.

-Ne parle pas de ma mère comme ça

-Ne fais pas et ne dis pas aux autres ce dont tu ne veux pas qu'on te fasse ou dise. Maintenant casse toi et vite

-tu vas voir sale con

-voir quoi? Ton zizi? Non merci j'ai perdu mes lunettes et égaré mon microscope.

-tu m'énerve.

-toi aussi, oh mon dieux on a un point en commun. Bye, bye.

Sur ces mots, le salaud dégagea sa face de merde de ma vue. Puis xav me rejoint enfin.

-c'était long bordel, t'a baiser la prof ou quoi?

-je terminais mon devoir, ce qui fait que je peux me la couler douce ce weekend.

-va chier, aller on s'en va

-ça va? me demande-t-il, curieusement.

-bin oui pourquoi tu poses cette question?

-tu as l'aire énerve, il s'est passé quelque chose en mon absence?

-non

-Michel je te connais, dis-moi tout.

- je te donne des indices, 1-grosse merde sur patte, 2-face de cul et 3-c'est u..

-qu'est-ce que Samuel t'as encore fait ou dis?

Putin qu'il est doué pour deviner.

-je te raconterai ça plus tard.

-plus tard? Il se passe quoi plus tard?

- t'es con ou quoi, on avait dit que je dormirais chez toi.

-je sais. Je voulais juste voir ta réaction. Ahahahahaha

-je te jure, un de ces jours je te buterais

-ok mais pas ce soir, veux-tu?

-ouais

-bon on y va, je pense que deux minute de plus dans cette établissement te rendra dingue.

-t'a raison, on bouge.