"Comment s'occuper d'un oméga enceint(e)"

14. Famille

Cela faisait déjà deux semaines que Kokai était là, il était très serviable bien qu'il ait une peur bleu des araignées et qu'il se cachait toujours derrière Tetsuya quand une venait à sa rencontre. Il se chargeait des courses, du dîner ainsi que des tâches ménagères. Il faisait absolument tout pour gagner la confiance absolue de Tetsuya, il avait bien sentit que le bleuté était encore méfiant; et c'était bien normal.

Il se sentait vraiment bien dans cette maison, il connaissait déjà toute les piece depuis le deuxième jours, ce qui avait d'ailleurs étonné Tetsuya qui l'avait attrapé à se forcer de retenir toute les pièces ainsi que littéralement où était toute les épices, assiettes sous plats et tout ce qui allait avec. Cela fit plaisir à Tetsuya qui comprit qu'il faisait ça pour l'aider plus rapidement et ne pas se sentir inutile.

Il était déjà 16h aujourd'hui, Nashi avait rapporté un moelleux aux chocolats qu'il avait aperçu en revenant des courses. Kuroko avait apprécier l'attention et ils s'étaient mis à le déguster devant une nouvelle tasse de jus d'orange frais. C'était incroyable comme Nashi était débrouillard. Il avait dût se débrouiller à vivre seul depuis assez longtemps, et, d'un côté, cela faisait mal à Tetsuya de penser qu'il était peut été comme ça depuis qu'il était petit a cause de ce que le jeune blanc lui avait révélé à son arrivée même.

Tetsuya pensa alors que parler pourrais alors l'aider, si jamais quelqu'un pourrait l'aider à oublier et à remplacer son passé. Il prit alors la parole.

Tetsuya: Kokai-Kun, voudrais tu me parler de ton passé? Ne le prends pas mal, je voulais juste te mettre à l'aise, t'aider..

Nashi parut étonner du sujet que voulait aborder son hôte. Mais ses intentions ne devait pas forcément être méchantes, le jeune blanc hocha alors la tête, avala désormais difficilement ce qu'il avait en bouche avant de prendre une gorgée de jus pour hydrater sa gorge qui semblait désormais étrangement sèche.

Nashi: Ça a commencé dès que j étais très jeune. Je n'ai jamais su qui était mon père ni pourquoi il était partit. Tout ce que je savais c'est que ma mère me détestait. Pourtant, avant que je n'atteigne l'âge de 5 ans, tout allait bien. C est après ça que j'ai dû commencé à me débrouiller seul pour me faire à manger. Ça a duré, puis j'ai compris pourquoi elle agissait ainsi; elle avait rencontré quelqu'un et cette homme la avait une fille, j'ai été présenté à eux lors d'un noel que je n'oublierais pas, ma grande « sœur » avait trop froid alors ma mère m'a enlevé ma veste ainsi que mon écharpe pour les lui donner. Je me suis retrouvé avec une grave maladie dont j'ai oublié le nom qui a faillit me tuer vu que personne n'avait pensé à me soigner. Ce n'est que lorsque je me suis évanoui en classe et suis rester dans le comma pendant deux semaines que les autorités sont intervenu.

Il soupira, tortilla ses doigts, et reprit.

Nashi: Ma mère leur a dit que c'était moi, que je refusais tout médicament et allait toujours me débarrasser de mes habits chaud lorsque j'allais dehors. Ils l'ont crut et je me suis fait battre en arrivant chez moi, comme quoi j'avais apporté la honte sur la famille, comme quoi c'était de ma faute si aucun hommes ne restaient avec elle. Ce n'était pas la première fois, mais je sais que si je ne faisais rien, ca allait continuer ou alors même pire.Du haut de mes septs ans, je l'ai repoussé et ait crié de tout mes poumons, de tout ce que j'avais retenu à l'intérieur de moi, toute cette haine que je portais.

« CE N EST PAS DE MA FAUTE SI TU N ES QU UNE TRAÎNÉE QUI NE SAIT PAS TENIR DE RELATIONS ET QUI DE PLUS OUBLIE SON PROPRE FILS ET REFUSE DE LE SOIGNER. TU N AS PAS ARRÊTER DE ME RÉPÉTER QUE TU AURAIS DU SURVEILLER LA DATE DE L AVORTEMENT MAIS EST CE QUE TU AVAIS MÊME ASSEZ DE CELLULE DANS TA PAUVRE TÊTE VIDE POUR LE SAVOIR?! JE NE PENSE PAS. ALORS ARRÊTE DE REMETTRE TOUT TES ÉCHECS SUR MOI CAR DU HAUTS DE MES 7 ANS, 7, JE N AI JAMAIS ENTENDU UN ENFANT VOULOIR AUTANT MOURIR. JE N AVAIS JAMAIS DEMANDÉ À ÊTRE NÉ, TU N AVAIS QU A FERMÉ TES JAMBES, PAUVRE TRAÎNÉE. »