RETOUR DANS LE TEMPS

CHAPITRE N°2 : Premier pas dans le passé

Je sentais une sorte de pluis qui tombait sur mon visage, ma valise s'étais écraser sur ma jambe d'après la douleur que je resentais, il y avait de la boue partout et c'était dégoutant. Le vent me faisait frissonner et mon mal de tête était toujours présent. Je n'entendais rien à part des bombardement... DES BOMBARDEMENTS!

J'ouvris mes yeux d'un seul coup, des militaires couraient dans une sorte de trancher et fusillais tout ce qui bougeais devant eux éuis ils fuyèrent tous d'un seul coup. Je ne pouvais pas bouger mais il le fallait, j'essaya de tout mes forces au moins de me décalé sur le côté debla paroi. Je ne sais pas pourquoi je n'avais plus de force en moi mais ce qui est sûre, je compte bien découvrir ce qu'il s'est passer. Si sa tombe, c'est Mélissa et Matt qui m'ont droguer pour me faire mettre dans une fausse scène de film.

MOI : Mélissa! C'est pas drôle arrêter ce cinéma tout de suite! criais-je à travers ce raffu.

Puis quelqu'un se stoppa net devant moi;

‽‽‽ : Que faites vous ici??

MOI : Si je le savais, j'vous l'aurez dit! Quoique non, je ne vous aurais même pas adresser la parole! lui répondis-je avec un sourire sarcastique.

‽‽‽ : Hé bien! Quel fort tempérement pendant cette guerre!

Il regarda derrière lui car des hommes venaient de crier et me regarde à nouveau.

‽‽‽ : C'est pas que je veuilles vous brusquer mais...

Sur cette réfléxion, il me prit en mode sac à patate et partis en courant avec une sorte de fusil sur son autre épaule. Je n'avais pas le courage de parler plus et m'endormie.

-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

Je me réveilla dans un lit de camp, quand un infirmière s'approcha de moi, je me leva brusquement ce qui l'a fit sursauter;

L'INFIRMIERE : Aaaah! Oh Euh! Désolé mademoiselle!

MOI : Heum! Ce n'est rien! Répondis-de en lanregardant de la tête au pied ce qu'il fit aussi pour moi et je me mit à éclater de rire. Toute la salle de "Soin" me regarda bizarremen, se qui ne m'empêcha pas continuer jusqu'à ce qu'un médecin apparaisse.

LE MEDECIN : Bonjour mademoiselle!

MOI : Salut!

LE MEDECIN : Pourquoi rigoliez-vous?

MOI : Vous ne remarquez rien?

LE MEDECIN : Bas dîte-moi mademoiselle?!

MOI : Vous êtes tous habiller du genre 1940 Man! Sur ceux, je me remis à rire de plus belle.

LE MEDECIN : Nous somme en 1944, cela ne vous semble pas normal pour vour et vous regardé comment vous êtes habiller comme une...

MOI : Je ne vous conseille pas de terminer votre phrase si vous ne voulez pas recevoir mon poing dans le figure! dis-je en commençant à être énerver.

Je me le va du lit d'un coup, m'étira devant tout le monde et dit;

MOI : C'est part où la sortie s'il vous plaît?

LE MEDECIN : Mais il est hors de question que vous bougiez de là!

MOI : Je bougerais si je veux, je suis sous l'ordre de personne ici!

Tout le monde me regarda la bouche grande ouverte.

MOI : Quoi? J'ai dit quelque chose de mal?

LE MEDECIN : Rallongez-vous, je crois que vous avez subis un choc au niveau de la tête!

MOI : Non, je vais très bien je veux juste rentrer chez moi!

Il me prit fermement le poignet et me dit:

LE MEDECIN : Vous y retournerez quand vous irez mieux!

Je commença à boullir en moi. Je me défi violement de son emprise ET LE BOUSCULA, je sauta sur mon lit puis à travers des lits qui étais libre pour me diriger vers une grande porte. Trois hommes toujours habiller en militaire me regardèrent encore et toujours de travers et je leur dit;

MOI : Putain mais enlever vos fucking coustumes, là cous faite vraiment pitier!

Avant de prendre la fuite vers un très grand escalier car le médecin commençait à raller. C'est fou comme je vais vite dans les escaliers, je cours et hop je sautes. Je continuais ma route en prenant un vouloir de gauche. Cela menait apparement  à des vestiaire car des mecs prenaient leurs douches et je n'avais pas le temps de les admirer. Je continua à courir, les mecs criaient et moi je continuais ma route jusque apparement des dortoirs. Puis voilà la porte de la sortie qui menait à l'extérieur sauver.

BAM

Jusqu'à ce qu'on me plaque au sol.

MOI : Mais bordel, lâcher-moi bande de bitch man!

‽‽‽ : Mais c'est la femme que j'ai trouvé sur le terrain ça!

MOI : Euh! T'es qui, j'te connais?!

‽‽‽ : Non mais je veux bien faire ta connaissance, ma belle!

MOI : OH PUTAIN!

‽‽‽ : Hé! Pas de vulgarité s'il vous plait! dit-il comme un ordre.

MOI : Mais arrêter de réagir comme si on était dans les années 40, la guerre est fini les vieux!

Il resta perplexe. QUOI?         J'AI  DIT  QUOI  ?