Précepteur
Alexandre s'ennuie, conquérir une bonne partie de l'Europe fut une chose vraisemblablement facile, on ne l'appelait pas ''Le Grand'' pour rien. Il est assis sur son siège préféré, attendant la fin de la journée ou un quelconque évènement intéressant, il détourne finalement le regard d'un point invisible pour voir Aristote à côté de lui en train de rédiger quelque chose dont il ne sait absolument rien, son précepteur est un grand homme en terme de sagesse, mais même s'il le connaît depuis longtemps, il a l'impression de ne pas le connaître.
''Aristote, que rédigés-tu ?'' Alexandre ne peut pas retenir sa langue et finit par lui demander
''Oh, ça, peu importe cher conquérant.''
''J'insiste mon précepteur.''
''J'écris sur mon professeur, Alexandre.''
''Ce cher Platon, et qu'écris-tu donc à son propos ?''
''Nos relations.''
''Et quelles sortes de relations ?''
''Physiques mon conquérant.''
''Oh, je vois, et tu l'aimais mon précepteur ?''
''Comme un apprenti aime son maître.''
''Mais beaucoup plus dans ce cas, n'est-ce pas ?''
''Oui bien sûr, Platon et moi essayions de comprendre les limites du corps.''
''Évidemment.''
''Est-ce tout Alexandre ?''
''Oui, tu peux continuer ton activité.'' Alexandre a réussi à occuper une partie de sa journée, c'est mieux que rien...
Fin
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Platon/Aristote
RomanceLes cours de philo m'ont éclaté. CE NE SONT PAS DES FICHES DE RÉVISION