Le roi des neiges et la grande méchante louve (Elementary Tome 2)

Chapitre 1: Au revoir

~7 mois avant la fin de la première partie~

P.D.V Alice :

Je marchais dans les couloirs de l'école. Je ne savais pas encore vraiment si je voulais en devenir la directrice. Je n'en ai même pas parlé à Stephen.

Moi : Bon allez... Quand faut y aller... faut y aller.

Je poussais les portes de la salle de classe et entrais à l'intérieur.

Moi : Bonjour !

Eleve1 : C'est vrais que vous allez devenir la directrice de l'école.

Moi : Je ne sais pas encore...

Je pausais mes affaires et m'asseyais comme d'habitude sur mon bureau.

Eleve2 : Sa serais géniale !

Moi : Si vous le dite... Mais je n'aime tout ce qui est administratif.

Eleve3 : Vous n'aimez pas être une adulte quoi.

Moi : ... En quelque sorte.

Eleve4 : Mais pourtant vous êtes prof...

Moi : C'est vrais que ça n'a aucun sens !

Le reste du cours se déroula normalement jusqu'à ce qu'une explosion nous coupe. La voix de Colossus résonna dans les hauts parleurs.

Colossus : On est attaqué. Ceci n'est pas un exercice !

Moi : Putain de...

Les vitres de la salle explosèrent.

Moi : Vite ! Sortez les enfants !

Ils se levèrent. C'était l'anarchie. Tout le monde hurlait et des bruits de tire se faisaient entendre. Toutes les vitres étaient brisées. Des gens rentrait par les fenêtres. Je croisais mes collèges qui faisaient sortir des élève part des passages secret. Une petite fille pleurait en plein milieu du couloir. Je me retournais vers Nina et des élèves.

Moi : Fait les sortir ! Je vais chercher les autres qui sont encore là.

Nina : D'accord !

Elle partit avec mes élèves et la petite fille. Je trouvais sur mon chemin plusieurs élèves. Au bout du couloir, je vis l'un des attaquants près à tirer sur une petite fille. Je couru vers elle et m'interposais. Je me pris une balle dans l'estomac. J'utilisais l'adrénaline pour sortir mes griffes et lui tranchais la gorge. J'indiquais un passage secret aux élèves.

Moi : Ne vous inquiété pas pour moi ! Fuyez !

Ils prirent le passage secret et je le fermais derrière eux. Il ne restait plus que moi et les attaquants dans l'école. Je réussis tant bien que mal à me barricader dans une salle. J'avais pris une balle qui m'avait sens doute perforer un poumon et une autre près de mon cœur. Je me cachais sous un bureau et pris mon téléphone.Je composais un numéro.

Répondeur : Vous êtes bien sur le répondeur de [...]

Je soupirais et après le fameux « bip » je laissais un dernier message pour tout le monde. Au fond de moi. Je sentais que mon heure était venue.

P.D.V ???:

Je rentrais du « travail » et rallumais mon téléphone. J'avais des appels en absence.

Répondeur : Vous avez deux appelle en absence. Aujourd'hui à 10 heures.

Il datait donc d'il y a cinq heure. Je pausais mon téléphone et mis le haut-parleur. J'enlevais ma cape et mes gants.