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1794, cela faisait maintenant près de 5 ans que la révolution française avait éclaté. Et un an plus tôt la Convention venait de créé une période sanglante et affreuse, que l'on appellera par la suite, "la Terreur".

Au moment des faits, une jeune femmes de 27 ans, encore jeune et déterminée, faisait elle aussi parti de ceux qui se révoltaient contre cette "République" qu'on qualifie soit disant de "liberté". Elle, était resté fidèle à son Roi, qui malheureusement pour celui-ci, avait laissé son âme et son corps, a ce peuple acharné, aussi sauvage que des chiens. Mais heureusement, notre chère Marie-Antoinette n'y était pas encore passée, même si elle paraissait sans vie depuis la mort de son époux. La jeune "citoyenne" comme on les appelles, a commencée a haïr plus que tout la République, lorsqu'en 1792, elle vit sous ses propres yeux, la princesse de Lamballe, amie de la Reine, se faire massacrer et surtout éventrer par ces sauvages. Ce qu'elle vu lui donna une toute autre image de la France, son pays qu'elle aime si tant...

Un après midi, alors qu'elle se contentait d'écouter les nouvelles du comité de salut public, elle fut surprise par deux gardes nationaux qui entrèrent chez elle sans même tocer, en bousculant se qu'ils se trouvaient devant eux. Elle se leva en demandant ce qu'il se passait, l'un des deux homme la pris par le bras sans lui donner de réponse. Puis elle s'exclama plus fort:

- Que me voulez vous ? Dit elle paniquer. Le plus petit des deux répondit.

- Vous avez cité dans une de vos lettres destinée à votre sœur, haïr la république, et ne pas vouloir l'accepter !


- C'est exact ! Oui je l'admet ! Puis l'autre fronça les sourcils en grognant :
- Vous n'devriez pas parler comme ça citoyenne ! Elle le fixa d'un regard noir

- Ne m'appeler pas, citoyenne ! Je ne fais pas parti de votre bande de barbares infâme ! Ils la prirent par les deux bras, la sortie de chez elle et l'amena a la capitale, a la double prison de la Grande et la Petite Force. 

La cellule dans laquelle elle fut disposé à "vivre" était, étroite, avec juste un matelas qui lui servait de lit, un pot de chambre fortement abîmé, et une petite fenêtre qui laissait le soleil faire part de ses plus beaux rayons. Elle ne savait que faire, et les journées lui semblait longue dans cette cellule qui empestai l'humidité, les rats, et les cadavres ! De temps à autre elle entendait les pas des gardes nationaux, ou les cris effrayé de ceux qui allaient passer a la fameuse œuvre du Dr. Guillotin. Souvent elle se dit que c'était peut être son tour...

Elle repensait régulièrement a cette image affreuse de Mme de Lamballe ce faisait égorgé par un sans-culotte, avec comme chant, la foule criant de bonheur. Elle fini par s'habituer a ce nouveau rythme de vie. Un jour, où elle ne pensais a plus rien, une femme plutôt robuste entra avec un couteau. Elle s'approcha de la jeune femme et lui enleva sa coiffé en rétorquent :

- C'bientôt ton heure citoyenne. La jeune femme ne répondit pas, et se contenta simplement d'un haut le cœur. Puis la bonne femme pris la poignée de cheveux et la coupa. Quand elle vit ses cheveux tomber, les larmes coulèrent sur ses joues. Puis la bonne femme laissa sur le lit, une tunique blanche, la plus simple possible. Au moment où elle sortit de la cellule, elle s'exclama :


- Habille toi, et vite ! L'peuple t'attend ! Elle fini ces mots avec un rire le plus narquois qu'il soit. La jeune femme resta sur son lit sans bouger.

C'est quelques minutes après, qu'un gars vint la chercher, en déclarant :

- c'ton heure citoyenne ! Elle se leva et le suivit. Puis elle fut emporter dans une charrette, place de la république, là où est disposé la guillotine, pour êtres exécuter devant le peuple. La foule la regardait, en agitant leurs fourches et leurs pics, tout en criant "Vive la nation ! Ou encore "mort aux aristocrates !". Elle descendit de la charrette et se trouva au pied de l'échafaud, ou s'élevait devant elle, cette machine qui faisait fureur. En montant les marches, la foule continua a crier. Puis elle se tut, un homme déclara :

- Marie-Jeanne Ducoroy, vous êtes condamnés à mort pour avoir refusé de vous soumettre aux ordres de la république, de l'avoir jugée et critiquée. Tout en disant ces mots, elle embrassa un médaillon en chuchotant :

- seigneur, c'est entre tes mains que je remets mon esprit. Puis les deux gardes la dirigea vers la machine. Ils l'allongea en écoutant la foule recommencer leurs brayement, plus fort cette fois si. Marie-Jeanne fut attaché, et la planche fut basculer puis avancer. Une fois bien attaché, l'homme donna le signal au bourreau...

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 16, 2019 ⏰

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