Bismillah
Partie 26:
A la cafétaria j'ai pas attendu Camélia je suis directement partit manger ailleur et j'ai repenser que Shainez je l'appel donc
Elle: Allo
Moi: Oui c'est moi tu ma appeler
Elle: Oui et ce qu'on peut se voir
Moi: Heu ouai j'ai ma pose
Elle: Ok vien au mcdo de ******
Moi: Ok
J'y vais donc ce que Shainez allais m'annoncer va changer tous le cour de l'histoire
J'arrive donc dans le macdo d'asois et l'attend je la vois arriver elle s'assois et me regarde sans parler
Moi: Sava
Elle: Humm Sawsène je vais partir
Moi: A bon ou
Elle: Je vais aller vivre avec ma cousine a Toulouse
Moi: A d'accord
J'était un peu décu qu'elle parte malgrès le fais que se ne sois pas ma meilleur amie c'est une fille a qui je me suis attacher d'ailleur on me dit souvent que je m'attache trop vite
Moi: Tu vas me manquer
Je la prend dans mes bras
Elle: Avant uque tu parte j'ai un truc a te donner
Elle me tent une lèttre
Elle: Tu la lira quand je serais partis
Moi: Heu ok tu a mon numéros si ta besoin
Elle: Ouai tkt
Et elle partit je mis la lèttre dans mon sac mangea et partit a mon tour je fais ma journer de taff tranquilement le soir je rentre me lave m'habille et fais a manger Aymen m'appel et me dit qu'il travaille tard mon cul ouai –'
Je décide donc de me coucher mais je me souviens de la lèttre que m'avis donner Shainez je la prend ouvre l'enleloppe et la lis
« Sawsène tu a certainement été la seul véritable ami que j'ai eu dans ma vie mais moi je ne suis pas l'amie que tu pensais a la mort de mon père tous a été difficile pour moi et ma famille alors un jour quand je sortais du boulot un mec est venu me parler il était beau gentil alors on a discuter je me suis surprise moi même les délirs de mec tous a c'était pas mon gor alors on est sortit ensemble j'ai même fais la betise de lui donner ma fierter.
Tu dois surment entrain de tye demander qu'elle est le point commun avec toi et bien j'y viens le jour ou nous nous sommes bousculer dans les escalier je t'est dis que je venai voir une amie en réaliter je n'ai pas d'amis vivant ici la seul personne que je connaissais vivant la bas était mon mec qui est aussi ton mari.... Aymen et c'est se jour la que j'ai fait cette connerie je lui est donner mon bijoux ce que je devai garder pour mon mari j'ai compris que c'était ton mari le jour on nous avons fais du shopping et qu'il ta appeler tu dois surment me détester et je te comprend mais sache que je m'en veux térriblement mes mots ne peuvent pas décrire le dégout que je ressens enver moi même j'espère sincèrement qu'un jour tu arriveras a me pardonner
Shainez»
Je suis tomber de haut voir même de très haut je me suis allonger sur mon lit les larmes prèttent a couler la lettre dans mes mains je les lu et relue pour essayer de comprendre mais tous était déjà compréhensible et je me suis dit comment Aymen peut se regarder dans une glaçe tous les matins comment peut-il faire se qu'il fait
Il je n'ai trouver que 2 solution rationelle sois son cœur est une pièrre en béton armée ou alors il prend du plaisir a voir les gens qui l'aiment et qu l'entourent malheureux ce jour la j'ai réaliser une chose que depuis le 20 juin 2013 le jour de mon mariage par un simple oui tout avais changer je n'ai eu aucun instant de bonheur
aucun instant de répis
aucun instant ou je dit que j'ai encore la chance d'être la
Mais je me dis qu'il y a énormement de gens sur terre qui vivent 1000 fois pire se que je vis aujourd'hui je ne comprenais pas avec combien de fille Aymen ma t'il tromper
avec combien il m'avais trahis et pourtant je l'aime oui je l'aime toujour malgrès tous sa je continue et persiste a aimer se monstre
Pourquoi est ce que nous les femme nous tombons toujours amoureuse du mauvais garçon cette nuit la je n'ai pas réussi a dormir j'ai bruler cette lettre oui vous aller sans doute penser que j'allais la garder en souvenir mais en souvenir de quoi
Un mariage sans amour
Un ciel gris au dessus de ma tête
Un mari qui ne me regarde même pas
Une amie qui me « trahis»
Pour la première fois dans ma vie je me suis sentis seul oui il y avais plus rien dans mon cœur il était vide vous aller vous dire «y'a pas mort d'homme» mais j'était entrain d'accumuler tous les problèmes que j'avais eu depuis ce mariage le vide dans mon cœur a fini par se remplir par un sentiment de tristesse et cette tristesse c'est transformer en une colère et une haine une haine si profonde que j'aurais pus tuer quelqu'un a l'instant même
J'ai passer toute la nuit a réfléchir et j'ai trouver que faire il fallait que je reprènnes ma vie en mains je pensais en avoir déjà le contrôle mais en réaliter le contrôle est une illusion personne n'a jamais le contrôle de rien
Je m'endormis au bout de quelque heure pour me reveiller seulment deux heure après a mon reveil Aymen était la je ne lui ai rien dit je n'avais pas la force de l'affronter j'était devenue l'ombre de moi même une sorte de zombie je faisait tous sans même réellement savoir se que je faisait quand j'eu terminer se que j'avais a faire je partis au travail
Camélia n'y étais pas et tant mieux car je n'avais envie de voir personne même si elle n'y était pour rien je trvail tranquillement et le soir je rentre ( je ne vous l'est pas dis mais j'avais eux mes examens) arriver cher moi enfin si on peux appelait sa cher moi malgrès que se soit un magnifique appartement
JE N'AVAIS RIEN CHOISI alors pour moi maintenant c'était cher Aymen
* Je vais passer 8 semaine oui deux longs moi *
Je n'ai rien fais pendant ses deux moi j'avais étaind mon téléphone et casser ma puce personne ne pouvait me joindre j'avais acheter une nouvelle puce avec seulment le numéros de mon père je ne travailait plus, arrêt maladie pour une durée indéterminer j'étiat tomber dans une dépréssion je passais toute ma journer dans ma chambre sur une chaise et je fixais la fenêtre j'avais placer la chaise exprêt vers la fenêtre et je ne parlais plus
Aucun mot ne sortais de ma bouche j'était devenue vide éteinte Camélia passait me voir mais elle avais fini par lacher l'affaire et tant mieux je ne faisais pas tous sa a cause de l'histoire avec Shainez non je faisait tous sa cause de ma vie je me disais toujours « T'est heurese Sawsènee » Mais en réaliter je me persuadais moi même que je l'était Aymen lui faisait un peu plus attention a moi il me ramenais a manger parfois je mangeai parfois non sa dépendait il essaya souvent de me parler mais je ne répondais pas et il finissait par s'énerver la famille d'Aymen savais que j'allais mal mais sa n'avais pas l'air de les préocuper plus que sa
Un jour Soraya est passer a cette époque j'était déjà en dépression et je l'entendis parler avec Aymen
Elle: Elle a quoi ta femme Aymen tu lui a fait quoi
Lui: Rien du tout zebi c'est elle la dépréssion chelou
Elle: Enmène la voir un médecin
Lui: Azii je m'en fou moi
Elle: Ok
Elle a répondu par un simple « ok » comme si pour elle c'était normal mais je ne dis rien
Aujourd'hui Aymen entre dans ma chambre avec un homme il portait un quamis il entre dans la chambre et me regarde il me parle je compris directe c'était un imam Aymen pensait alors que j'était folle la seul chose dont je suis folle c'est lui la seul personne aussi qui ma rendu folle est lui
l'imam prit la parole
Lui: Salem benti je m'appele Moussa et toi
Moi:...........
Lui: Pourquoi tu refuse de parler ma fille
Moi:.................
Il ne chercha pas longtemps a comprendre il se leva et se dirige vers Aymen faut qu'il avais pas fermer la porte alors j'entendais tout
Lui: Ecoute wouldi ta mra ( femme) n'a rien
Aymen: Commenca elle a rien elle fait semblant
Lui: Non elle ne fais pas semblant elle na rien en elle aucun jnoun
Aymen: Bah elle a quoi alors
Lui: Sa ce passe bien dans votre mariage
Aymen: Bah oui sauf depuis qu'elle est comme sa
Il n'avais aucun scrupule a mentir a un imam...
Lui: Humm je pense que tu devrai appeler un vrai médecin
Aymen: Ok
L'imam partit et Aymen arriva en furie
Lui: Je sais pas t'essaye de faire quoi a jouer la meuf dépréssif mais sa va pas marhcer avec moi lève toi salle kehba va j'ai faim moi
Je fais comme si je n'avais rien entendu je refuse de me lever il s'approche de moi me tire le bras extrèmement fort
Lui:..........
