La journaliste et le rugbyman

Chapitre 1: Surprise !

Salut tout le monde, je reviens pour une nouvelle histoire. J'espère que ça vous plaira, j'essayerai de poster tous les jours, ce qui est compliqué mais j'écrirai, sûr, car se sera une petite histoire !

L'histoire m'appartient et les noms et matchs ne sont pas vrai, tout est sortie de mon imagination. Pas de plagiat s'il vous plaît et tous les droits m'appartiennent.

Bonne lecture et n'hésitez pas à commenter.

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- T'es pas sérieux Anatole ?

- Si, si je le suis. Tu vas passer un mois avec le capitaine de Rugby pour me pondre ensuite un magnifique article sur leur façon de vivre et tout autres choses. Je veux de l'info et du croustillant. Tu seras toujours avec eux, le capitaine à accepter de te loger en contrepartie de la publicité que l'on fera et d'une petite compensation financière. Je compte sur toi Marie !

- Mais tu sais pourtant que je n'aime pas le rugby et que j'ai une vie accessoirement, avec un petit-ami...

-Il pourra se passer un peu de toi sachant que tu as fait beaucoup pour lui et puis si cet article est réussis je suis sûre que je pourrais voir pour te trouver un reportage qui t'intéresse plus.

- Tu es sérieux ?

- Oui mais je veux que se soit une grande réussite et que l'on parle plus que de ça en ville.

-Je...je très bien, tu as gagné ! Mais je veux être payée double et dédommagée pour tous les déplacements que j'aurais à effectuer.

- La moitié des déplacements et une augmentation de 10% mais pas doublé !

- OK, quand est-ce que je commence ?

- Demain, tiens voici le questionnaire : ce sont toutes les questions que ce posent les gens sur l'équipe. Tiens, ta carte de reporter et voici la fiche qui te permettra de savoir où et quand tu rencontreras l'équipe. Je te donne le reste de ta journée pour préparer ton sac et prévenir Julian. Bonne chance et je compte sur toi, tu es la plus talentueuse de notre équipe !

- Ouais ouais, à dans un mois Anatole !

Je me saisis du dossier qu'il me tendait et sortie du bureau de mon patron. Une fois assise à mon bureau, je pris connaissance de toutes les informations disponibles et ce que je devais récupérer comme détails sur l'équipe Rennaise. Une fois fait, je quittais mes collègues et me dirigeai vers ma voiture qui se trouvait sur le parking souterrain de l'immeuble. Ma petite Renaud Clio noire à arabesque blanche clignota quand j'appuyais sur la clé. Je me glissai à l'intérieur de ma petite voiture et posai mon sac sur le siège passager. j'allumai le chauffage de ma voiture et sortie du parking. Ce fut le ciel nuageux qui m'accueillit dehors et j'en frissonnai, j'avais toujours plus froid que chaud et j'étais la seule comme ça dans ma famille.

J'augmentai le chauffage et partie en direction du stade rennais, je savais que j'y trouverai mon petit-ami Julian, meilleur attaquant de l'équipe et élu plus beau joueur rennais trois années de suite. Je sortais avec lui depuis deux an et demi et j'envisageai sérieusement d'emménager avec lui. J'étais toujours présente avec lui, l'aidait dès qu'il en avait besoin et l'encourageais à chacun de ses matchs. Nous nous aimions et cela faisait plusieurs mois qu'il venait dormir chez moi et vice-versa. J'arrivais au stade, mon esprit étant complétement occupé par comment je lui dirais que pendant un mois je devrais vivre avec un autre pour mon boulot. Aïe, aïe, aïe, comment je vais faire ça ? Je me mis à mordiller ma lèvre inférieur, signe de mon anxiété grandissante. Je descendit de ma petite voiture et me dirigeai vers le stade d'entraînement. L'équipe s'entraînait, je m'installais dans les gradins et attendis que l'entraînement se termine. Ils jouaient entre eux, s'entraînant aux passes et essayant de nouvelles techniques et stratégies. Je le regardais jongler avec la balle et marquer des buts incroyables, il volait presque. 30 minutes s'écoulèrent avant la fin de l'entraînement, je le rejoignis en bas, l'attendant près des vestiaires. Comme d'habitude, les autres joueurs ne me dirent même pas bonjour ou me lancèrent des regards salaces. Je les ignorais et attendis mon copain.

Quand il se présenta face à moi, je lui fis un grand sourire et l'embrassa mal grès la sueur et la forte odeur de transpiration. Il mis ses mains sur ma taille et répondis à mon baiser. Sa langue s'infiltra dans ma bouche et il me colla contre le mur. Je souris mais ne dis rien, j'avais l'habitude de cet élan de force. Sa main passa sous mon t-shirt et vint caresser mon nombril, mes mains se mirent dans ses cheveux bruns collant mais qu'importe, quand j'étais dans ses bras, il n'y avait que lui qui comptait. Il se décolla de moi à contre cur et se mit à me fixer, ses beaux yeux noisettes ne me quittant pas. J'étais complétement sous le charme de ce bel athlète et je n'avais pas peur de le dire.

- Comment ça se fait que tu sois là, je te croyais au journal ?

- On m'a donné ma journée, j'ai comme qui dirait impressionner Anatole avec mon article sur le réchauffement climatique !

- Mais c'est super !

- Oui c'est cool en revanche je dois te parler de quelque chose.

- Ah moi aussi ! Bah tu sais quoi ? On en discute ce soir, je viens chez toi vers 19 h. Là faut que j'aille prendre ma douche et l'entraîneur doit nous briefer sur notre prochain match !

- Euh...Ok bah on se voit tout à l'heure.

- A tout à l'heure bébé ! Il déposa un dernier baiser sur mes lèvres et entra dans les vestiaires où les cris résonnaient déjà.

Je restai plusieurs minutes contre le mur encore surprise de sa déclaration puis me ressaisit et repartie en direction de ma voiture, la tête remplie d'interrogations multiples sur le sujet qu'il voulait aborder.

*****

18h30, j'avais finie de préparer mes affaires et je m'étais organisée avec une de mes amies pour qu'elle vienne s'occuper de mon chat Pacha. J'étais en train de faire à manger avec la musique à fond dans mes écouteurs quand deux mains vinrent se placer sur mes yeux. Je sentis une bouche se coller à mon cou et des mains glissèrent pour venir ôter mes écouteurs.

- Alors bébé, qu'est-ce que tu prépares ce soir ?

- Rien d'exceptionnel dis-je en me tournant vers lui et en m'emparant de sa bouche. Il avait mis une chemise et sentait bon le parfum. Nos langues se rencontrèrent et un gémissement m'échappa, il décala la planche à découper et me posa sur le plan de travail. Mes mains commencèrent à se déplacer sur son torse fin et déboutonnèrent le premier bouton. Il souri et recula. Je le regardais, interloqué, c'était pour tant ça que nous faisions quand il me posait sur le plan de travail.

- Pas maintenant Marie, nous devons d'abord discuter tu te souviens ?

- Oui, oui. Je me redressai et pris mon souffle. Comment est-ce que j'allais lui dire ça ? J'avais essayé tout l'après-midi de trouver une formulation pour éviter qu'il pique une crise mais rien n'y avait fait, toutes les formules sonnaient faux à mes oreilles.

- Eh bien...

- Eh bien

Nous avions commencé tous les deux en même temps, je baissai les yeux et ne pus m'empêcher de rire.

- j'aimerai commencé, si ça ne

- Moi d'abord ! Je fus surpris par sa vitesse mais le laissai poursuivre.

- On est ensemble depuis maintenant presque trois ans et je sais que tu ne rêves que d'une chose qu'on s'installe ensemble alors voilà !

- Voilà quoi ?

- Je veux bien emménager avec toi !

- Quoi ? Tu...Tu...Tu veux vivre avec moi ?

- Bah oui ! On dirait que ça ne te fais pas plaisir...

- Si ! Si ! C'est formidable !

Je me jetais dans ses bras et l'embrassai mais la seule chose qui passa dans ma tête fut " Comment allais-je pouvoir faire passer ma nouvelle avec ce qu'il venait de me dire ? "