parenteese

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Je me rappelle un jour, une personne, un inconnu, tout à fait charmant, qui est venu me dire bonjour. Il me parla, resta près de moi, me soutins. Jusqu'à demain, il était toujours là. Cette personne se croyait invincible, il pouvait gagner face à toutes les balles et les missiles du monde qui fondaient sur lui, grâce à lui. Jusqu'à ce que lui perde sa propre confiance. Sa confiance en lui-même.
Elle crut défaillir dans une crise d'angoisse, un malaise, une hyper tension. Elle n'avait rien vu venir.
Il ne revint jamais la soutenir, il avait trouvé un autre bout de ce bouclier, abandonné, plus loin sur la route.
Il l'abandonna.
Elle.
À la mort.
Elle l'abandonna, lui, pour un meilleur destin.

Mais elle n'arrêtait jamais vraiment d'y penser. Comment aurait-elle pu faire changer les choses ? Comment aurait-il pu lui montrer son mal-être sans tout ce merdier ? Elle se sentait mal. Cette homme est néfaste pour elle mais elle s'en fiche. Elle avance et le porte toujours plus loin sans qu'il ne le sache vraiment. Et ça lui fait mal à elle aussi.

Pensées à qui est-ce ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant