Chapitre 1

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(Cette histoire contiens certains contenus pour adultes incluant du langage explicite et des références sexuelles, alors lisez à vos risques et périls...)

Je regarde par la fenêtre de la voiture et soupire, travailler le samedi matin est mauvais.

« À quelle heure finis-tu de travailler aujourd'hui, Belle? » Demanda papa.

« 17 heures » je gémis en tirant le miroir vers le bas pour m'assurer que mes cheveux blond sont intactes je vois qu'ils sont peut acceptable. Ils sont un peut en désordre; les nœuds on donner une épaisseur, à mes long cheveux. Je ne mets jamais d'effort dans mon apparence au travail. Ou n'importe où, d'ailleurs. Qui vais-je rencontrer, quand tout le monde connaît tout le monde dans cette petite ville de campagne ?

Nous passons devant le terrain de football, je vois une tonne de caravanes avancer ver le haut. Certains grands camions colorés et quelques voitures suivent aussi.

« Que se passe t-il ? » Pensais-je à haute voix je continue de regarder les véhicules inconnus. Ils sont tous sur le parking au milieu du champ, ce qui est nouveau.

« On dirait que les forains sont en ville » Papa roule des yeux avec désapprobation.

« C'est qui ? »

Je continue de regarder par la fenêtre, je vois 4 garçons, probablement des jeunes adultes, sauté de l'un des camions. Ils se moquent de quelque chose et je ne peux m'empêcher de remarquer qu'ils n'ont pas de t-shirts et sont plutôt bien construits.

« Je veux dire le cirque est en ville »

Papa secoue la tête, « Ils sont bons à rien, ces maudits forains. » Commente papa avant de fermer sa fenêtre et allumer la radio comme pour rejeter leur existence.

Je me demande ce que papa voulais dire par là, mais je ne demande pas, il semble avoir quelque chose contre eux et je ne veux pas l'énerver. La dernière fois que le cirque est venu dans notre ville c'était il y a 10 ans. Je m'en souviens je n'avais que 11 ans.

Comme nous passons le terrain, je regarde dans le rétroviseur pour voir les camionnettes de plus en plus petites.

Nous roulons à travers la rue principale nous approchons de mon travail. Presque chaque personne de la ville est présente, les stands sont mis en place et ils discutent les uns avec les autres. La foire Rosalind a lieu chaque samedi matin de 9 heures à 12 heures; une occasion pour la communauté de fabriquer et vendre des douceurs fait maison et de l'artisanat. C'est aussi un prétexte pour les dames de la ville de rattraper leur retard sur les derniers potins de la communauté.

Rosalind détient environ 2000 personnes, ce qui n'est pas beaucoup. Bien sûr, vivre dans une petite ville a ses avantages. Par exemple je ne pourrais jamais disparaître ; quelqu'un serait sûr de me retrouver en un battement de cœur. Mais il y a aussi des inconvénients. Étant donné que, je ne pourrais jamais disparaître. Je ne peux aller nulle part sans qu'un visage familier ne m'approche pour me parler. Tout le monde connait tout sur tout le monde. Ne savent t-il pas qu'une vie est privé ?

Papa gare la voiture devant mon travail : le supermarché local. De ce que je peux dire, ça a l'air assez calme à l'intérieur pour le moment car tout le monde est dehors, à participer à la foire. Pour s'occuper pendant ce matin ennuyeux, je suppose.

« Je viendrai te chercher à 17 heures, chérie.» Papa souri et embrasse ma joue.

« Et si ils viennent ne parle pas aux forains, ce sont de mauvaises personnes » son visage devient soudainement strict, plus grave.

Je le remercie de m'avoir déposé avant de sortir de la voiture et d'entrer dans le supermarché.

Ça va être une longue journée, je sais déjà que j'aurais aimé rester au lit.


Merci à @ashZrad d'avoir corriger ce chapitre.
J'espère que ma traduction vous plaît.

Je n'ai pas écrit cette fiction je ne fait que la traduire l'auteur de cette fiction est WaitFor1D.

Circus (French translation)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant