D'une paire d'enfants blessées,
Une ligne en terrain éclairée,
Le pluriel d'une fleur d'été sans s'embrasser,
Par un destin embrasé,
Avec l'insouciance d'un plaisir partagé,
Par chaque louange il pouvait s'en vouloir,
Pour l'autre qui le connaissait autant que les eaux la Loire,
Une affection particulière aussi vitale que de boire,
Venu d'un monde où le hasard est un art,
Par les cris d'oiseaux, symphonique dans leurs Harmonie,
Des noyades de sentiments sous les regards d'amis,
Les Hommes d'aujourd'hui,
Ne saurai ceux de demain,
Même dans le vide et les pluies,
Par les pleures et les chagrins,
Dans l'orage ou le vent en accalmie,
Consciencieux d'un espace éteins,
À jamais dans mon navire endormi,
Où le soleil se lève la nuit,
Toi l'ami,
En mort ou à pleine vie,
C'est ton âme ou ta personne que je chéri ?
Tout deux me font confondre l'imaginaire et la réalité,
Au-delà des sombres souffles , ainsi, un six ciel du pêcheur étoilé,
Par mes discours de bonne foi,
Une bile jaune en vacation par flot,
Comme un brouillard de chaleur dans une vague de froid,
A toi mon ami matheo Guéninchault.