Le dernier jour

Prologue

Ce jour là, je n'étais pas prête de savoir ce qui allait se passer.

J'étais là, au centre d'une chambre. Une chambre entièrement blanche. Le sol et les mur était blanc comme neige et tout aussi froid d'ailleurs.
Le lit était fait de marbre blanc, avec de la literie blanche.
J'ignorais ce que je faisait ici, mais ce que je savais c'est que je ne devait pas y être.

Mes long cheveux blond était toujours légèrement bouclé et heureusement. Je hais avoir des cheveux lisse ou trop bouclées. Même si j'adore certaines coiffure avec des cheveux lisses, par exemple, mon ancienne conseillère d'orientation, avait des cheveux court et lisse, cela lui allait si bien. J'étais proche d'elle, avant que... avant que je me retrouve dans de multiples endroit plus étranges les uns que les autres.

Elle n'était pas méchante mais, étrange je dirais... Comme si elle avait un secret.

Enfin bref....

Je ne sais pas ce que je fais ici, mais croyez moi, je ferais tout pour partir.
Cet endroit, me faisait penser aux chambres dans des hôpitaux psychiatriques...
Etait-ce là que je me trouvais ?
Non impossible.

Il y avait une porte et une fenêtre. Dans les hôpitaux psychiatrique, il n'y avait pas de fenêtre, ou alors condamnée et pratiquement impossible de les détruire, sauf avec une grenade ou des explosifs, enfin je pense. A voir.
J'étais soulagée, ou du moins je pensais l'être. Car en réalité je paniquait.

Mais alors... Qu'est ce que je faisais là ?

J'avais toujours mes vêtements, donc je n'allais et je n'en avais pas subit pas subir d'opération contre mon gré.
J'ai quand même cherchée voir si je ne voyais pas de cicatrice, et non rien.
J'étais de nouveau soulagée, un peu plus que précédemment.

Mon sac.
Mais oui dans mon sac il devait bien avoir des indices, un téléphone, un carnet, un porte monnaie avec ma carte vitale, ou ma carte d'identité..

Je le cherche du regard mais il n'était pas là.

Je me disais, que quelqu'un m'avait emmené ici pour me violer, ou je ne sais quoi d'autre... Et qu'il m'avaient enfermée ici. Sans pouvoir sortir.

Une odeur étrange se fit sentir, mais tellement agréable.

Sur la porte il y avait une trappe, elle ne s'ouvrait que de l'extérieur de là ou je me trouvait; malheureusement.Même si pouvait l'ouvrir je ne pourrais pas passer par là.

Mais elle s'ouvrit. Un plateau repas glissa vers l'intérieur et une voix masculine, rauque et assez sexy retentit.

<<Je reviendrais chercher le plateau ce soir et tu en aura un autr. Tu es libre de manger ou non. Bon appétit. >>

C'est ça qu'il avait dit je m'en souviens.

La plateau devant moi, je ne savais pas quoi en penser. Il y avait une bonne odeur. Un boeuf bourguignon je pense, basse gamme, certes, mais il sentait bon.
Le prend la fourchette en plastique, et je porte la nourriture à ma bouche.

"Mmmh... c'est bon.."

Je mangeais avec plaisir, puis je regarde ce qu'il y avait d'autre. Un cookie.

Je le garde pour plus tard. C'est une meilleure idée je pense.
Je ne sais pas l'heure qu'il est. Ni même où je suis.

Il y avait aussi une petite bouteille d'eau couché, l'étiquette avait été retirée, sûrement pour que je ne puisse pas voir la date..
Quand je regarde par la fenêtre, je ne voit rien, sauf une immense étendue blanche, de la neige sans doute.

J'attend.
Je ne peux rien faire d'autre de toute façon.

Je m'allonge sur le lit et attend.
Je m'endors et me réveil un peu plus tard. Il faisait un peu plus sombre dans la pièce, j'allume la lampe et attend.

J'attend encore.
Et encore.

Puis la voix retentit de nouveau.
La trappe s'ouvrit il me donna un nouveau plateau, et je lui "rend" le plateau qu'il m'avait donné ce midi.

"Attend avais-je dis.

-Qui a-t-il ? Avait il répondu.

-Pourrais je avoir un carnet et de quoi écrire s'il vous plaît ?"

Il n'y avait eu aucune réponse. Mais peu après la trappe s'ouvrit un carnet et une dizaine de stylo glissèrent jusqu'à moi.
Pui des feutres de toutes les couleurs glissèrent vers moi. Puis un carnet de coloriage.

Le premier carnet avait une couverture toute douce couleur bordeaux, je pense que c'était du velours, mais je n'en suis pas sûr.
En l'ouvrant je met mit à écrire tout ce qui se passait en ce lieu, depuis mon arrivée, enfin depuis mon réveil...