Partie II Souvenirs...Souvenirs...

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Je me suis réveillée.
J'ai de nouveau vérifiée si je n'avais pas de cicatrice, ou de blessure.
Tout va bien.
J'étais au même endroit.
Dans la même pièce.
Il y avait juste une différence.
Il y avait une enveloppe sur la porte qui menait au couloir.

Pensant à un piège, je me suis levée et approcher doucement de la porte.
Je me suis positionné dos au mur. A côté de la porte.
j'ai tendu la main vers l'enveloppe pour la prendre.
Je l'ai ouverte et un message si trouvait.

"Une sortie comme la veille, par mois. Sois patiente. Tu me rendra la tenue quand je t'apporterais le repas."


Je soupire.
Une fois par moi, cela me parait peu, mais après tout, c'est mieux que rien.

Mais je trouve cela bizarre, en fouillant la robe j'ai trouvé un trombone. Je décide de le garder au cas où.

Quand arriva l'heure du repas, je décide de lui rendre la tenue, il me remercia.
Au menu, quelques chose d'un peu plus diététique. Après le repas de la vieille je suis soulagée.

Il y avait une salade, avec des carottes coupés en fine tranches, un peu de betterave râpé.
La vinaigrette était mise à part, heureusement, je n'aime pas cela.
Il y avait toujours une petite bouteille d'eau et un cookie.
Comme toujours, je cache le cookie et la bouteille d'eau.
Mais je suis quand même un peu maligne.
Pour ne pas éveiller les soupçon je bois quand même et dès qu'une bouteille est vide je la rend.

Durant la journée je réfléchissait.

Cet homme, arrivait toujours du côté gauche, et part du côté droit.
Ce qui est assez étrange.
J'ouvre mon carnet, et je relis tout ce que j'ai écrit, en particulier, la soirée de la veille.
Je sourit.
Mais, que c'est il passée ?
J'ai essayer de toucher son masque.
Il ma repousser, puis je ne me rappelle plus de rien.

Il ne veux pas que sache son identité.
Ni à quoi il ressemble.
Je peux comprendre.

Si j'arrive à m'enfuir, je pourrais le décrire à la police.
Et il aurait des problèmes.
Alors que je vit, assez bien.
Oui je suis enfermée.
Mais j'ai de quoi écrire.
J'ai de quoi colorier.
J'ai de quoi manger.
J'ai de quoi boire.

Donc, selon moi je me porte bien.
Même si la chaleur du soleil me manque.

Je ne désir pas non plus fuir.
C'est vrai, je ne vivais pas très bien avant.


Un appartement miteux, je mangeais que des plats instantanée.

Vous savez les plat à mettre quelques minute au micro-ondes ?

Voilà ce que je mangeais.

Et aujourd'hui ce que je mange est meilleur.
Bien meilleur.
Parfaitement assaisonnée.

C'était surprenant.

Enfin bref.

J'étais là.
En bonne santé.
Avec une bonne alimentation.

Un lieu confortable où dormir.

Je ne suis pas attachée.
Je ne suis pas violentée que ce soit physiquement ou moralement.

Je n'ai pas étée opérer.
Je n'ai pas étée violer.

Mais il est vrai que le soleil me manque.
La chaleur.
Le contact de la pluie sur ma peau.
Le froid.
Le vent d'été agréable et rafraîchissant.

Le froid de l'hiver.
La chaleur de la cheminée avec un chocolat chaud.

Mais il est vrai que c'est calme et reposant.
Loin du bruit des voiture.
Loin du bruit de la foule.

Une vie paisiblement calme.

Plus les jours passaient, plus je me sentais bien.

J'écris beaucoup c'est vrai, mais j'en ai besoin.
Si on me retrouve morte, je tiens à ce que ce carnet servent d'intermédiaire.
Qu'il serve comme de messager.

Beaucoup de meurtre sont déguisée en suicide.
Je ne veux pas, qu'on pense que j'ai mis fin à mes jours.

Je ne veux pas que mes....

Que mes....

Je n'avais plus vraiment de souvenirs.
Avais-je une famille ?
Avais-je des amis ?
Des collègue de bureau ?

Des voisins ?

Impossible de le savoir. J'avais beau y penser encore et encore, il, m'étais impossible de m'en souvenir.


Le dernier jourWhere stories live. Discover now