𝟏𝓮𝓻 𝓬𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝓮

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C'est en tâtonnant pendant bien 20 secondes de ma main libre, que je réussie à trouver la poignée et ainsi ouvrir ma porte d'entrée sans pour autant lâcher ses lèvres que je me fais un plaisir de martyriser.

Elle gémit et je souris fière de moi. Je me retrouve plaquée contre la porte qui auparavant était ouverte, et ses lèvres dérivent vers mon cou. Je place une jambe entre les siennes et fais pression sur l'intérieur de ses cuisses, je ressens sa mouille se reprendre sur le bas de ma cuisse.

«Un suçon sérieusement?»

Ell souffle un «desolée» et un rire franchit mes lèvres tandis qu'elle passe ses mains sous mes cuisses et que celles-ci se retrouve enroulées autour de ses hanches.
Un profond soupir de plaisir se fait entendre quand elle glisse ses mains sous mes fesses, me faisant ressentir des chatouilles à travers mon jean.

«Dans le couloir.... première... première porte à ta droite...»

J'essaie tant bien que mal de prononcer ces quelques mots alors qu'elle continue de jouer avec ma libido et ma patience.
Lorsqu'elle saisit le sens de ma phrase, elle passe ses mains, qui étaient hissées au dessus de nos têtes maintenant les miennes, de nouveau sous mes cuisses et nous décollent de la porte.

Je passe mes bras autour de son cou et me réapproprie ses lèvres. Elle prend moins d'une minute pour trouver la chambre d'amis et une fois dans celle-ci, elle nous laisse tomber sur le lit, se soutenant au dessus de moi à l'aide d'une de ses mains sans lâcher mes lèvres.

Pressée et excitée, je lui enlève son débardeur en coupant brièvement court au baisé, dévoilant sa brassière et la silhouette de ses abdos qui ne font qu'appeler ma langue, la suppliant de les lécher. Dans la précipitation, j'enlève aussi mon haut, me retrouvant seins a l'air.

Elle descend le long de mon cou et joue de sa langue sur le reste de ma poitrine, s'attardant particulièrement sur mes tétons et laissant ici et là des marques rosées dont je ne pourrais me débarrasser avant une bonne semaine.

Je prends son visage entre mes mains et le ramène au niveau du miens pour l'embrasser langoureusement.
Me détachant du baisé, je me mords la lèvre inférieur et la pousse pour être assise sur ses hanches.

Je lèches lentement le coin de mes lèvres sous ses yeux désireux et défais le bouton, puis la fermeture de son pantalon, le sourire au lèvre.

Gardant le contact visuel que j'avais avec elle, je me baisse au niveau de son bat ventre et passe ma langue à quelques millimètres de la démarcation entre son bas ventre et le début de sa cuisses, la faisant lentement écarter les cuisses, je devine qu'elle en veut plus.

Ses mains se crispent et attrapent rageusement le tissu blanc de la couette loin d'être immaculé de part la sueur qui émane de nos deux corps. Je comprends à son caleçon trempé qu'elle n'en peut plus, et je cède à la tentation de passer ma langue sur sa vulve à travers le dernier tissus qui recouvre son entrejambe.

Encouragée par ses gémissements, je passe ma langue le long de sa vulve récupérant sa mouille sur ma langue, la goûtant délicieusement, je viens taquiner le bout de son clitoris, celui ci déjà gorger de sang. Sa main vient agripper mes cheveux et je la sens imposer son propre rythme, je ne proteste pas et la laisse faire.

Sa main se crispe dans mes cheveux et un sourire prend place sur mon visage tandis que mes yeux se ferment pour apprécier la saveur de sa cyprine, je ressens la chaleur de ses cuisses se refermant sur mon visage, tremblotante, recouvertes de sueurs.

Je me redresse en léchant mes lèvres et me réjouis en voyant son regard vitreux et drogué de plaisir, elle décide d'elle se redresser pour venir m'embrasser, se goûtant par la même occasion mais je la pousse afin qu'elle reste assise, les jambes écartées et les cuisses couvertes de mouille, mon draps ayant changé de couleur.

Sexuel {Wlw}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant