Katsuko Bakugo (MHA Fantasy)

Partie 2 (retravaillé)

Quelques leçons, nettoyage et jardinage plus tard.

Doit-on vraiment s'habiller pour un dînée familiale ? Oui. Midoriya et Ochako ma première servante se disputaient tout les deux pour savoir quel vêtement je porterais et moi je les regarde assise sur ma chaise, le coude appuyé sur mon bureau, la main soutenant ma tête, un air ennuyé sur le visage.

- Au pire vous vous battez et je mettrais la tenus du gagnant.

Ils me regardent comme si j'étais une barbare. Dans un sens c'est vrai tout les autres pays appelle l'Empire Dragonique ainsi. Mais en vrai on est cool, certe, certaine pratique sont un peu dérisoire, mais aucun royaume n'est parfait.

- Ou sinon vous faîtes un shifumi.

Ils se regardèrent d'un air de défi, préparèrent leur poing et... Mon intendant a perdu. Il pleurait sur son sort pendant que je mettais la tenue de Ochako. Ma servante fait flotter un miroir jusqu'à moi.

Mon appartenance à la lignée Bakugo est indéniable Cheveux blonds très claire, yeux rouges malicieux, ce qui était d'origine inconnu était ma peau plus foncé que le reste de ma famille, des lèvres pulpeuse légèrement rose, tout comme mon caractère réfléchie, observateur, et sournois que j'ai inculqué à mes deux frères pour qu'il puissent survivre dans se monde de fou. Je pense que c'est l'un des seul cadeau de valeur que j'ai offert à Katsuki.

Je m'observe dans mon miroir. La tenue de Ochako est un pantalon crème à poche, une brassière sans bretelle, mettant mon tatouage au dessus de ma poitrine en valeur (cela indique que j'ai 18 ans ou plus donc adulte), des bottes noir montant au trois quart du mollet, un ras de cou fait en cuir rouge de talis offert par Izuku, un collier de perles de la reine Nami et le pendentif que mon père m'a laissé. Ochako me met le bracelet biceps en forme du serpent sacrée, des lanière de cuire de griffon aux poignets et une couronne qui a la forme d'un anneau d'or encerclant ma tête avec, accroché avec un artefact que mon père ma donnée, l'œil du Dragon du chaos. Cela donne l'impression que je possède un troisième, vu qu'il est placée entre mes sourcils.

- Princesse vous êtes magnifique ! (Ochako)

- Je sais.

Izuku lève les yeux au plafond. Il se rapproche de moi avec la cape que sa mère m'a offerte, elle faite de plume de phénix de glace sur le bord entourant mon cou, et d'un mélange magique de toile d'araignée du feu, du cuir de lionnaire et de sables du temps, difficile à fabriquer. C'est ma cape préférée, parce qu'elle est rouge, qu'elle chauffe, protège des flammes et surtout parce qu'elle peut s'effiler comme un sac à dos. Bonus : elle a une capuche.

- Je pense que l'on peut y aller.

- Souhaitée moi bonne chance.

- Bonne chance Princesse/Katsuko.

Je me retourne et fais un mouvement de cape.

- J'ai pas besoin chance.

Midoriya se frappe la tête avec sa main et Ochako rigole de bon cœur. Je leur ouvre mes bras, et il y sautent dedans.

- Ne vous faite pas exécuter. (Ochako)

- Ne hurle pas trop.(Izuku)

- Ne faite pas de bêtises. (Moi)

On se lâche. Je sors de ma chambre la tête haute et le masque en place. Le masque de Katsuko Bakugo, première enfant de l'impératrice Mitsuki Bakugo ; princesse guerrière et capitaine de l'escouade Noir. Ce masque est fait dédain et d'indifférence avec un soupçon de malice.

Je suis escorter par Izuku et de soldats de mon escouade, jusqu'à la porte de la salle à manger.

On entend déjà des cris. Je soupire.