Stranger [RUGGAROL]

Chapitre 5

J'etais de retour au lycée mais cette fois en même temps que tout le monde et étrangement, cette fois un sentiment m'anima lorsque j'arrivais au niveau de la grande porte du lycée... ce sentiment est l'angoisse... je ne saurais l'expliquer à ce moment précis pourquoi ce sentiment était omniprésent mais en tout cas lorsque j'eusse enfin eu le courage d'avancer, et que je me retrouvais dans une foule d'élève, et crise d'angoisse encore plus énorme me pris. Ma vision se troublé alors que je sentais mon corps m'abandonner et-...

- Heeee ? Tu m'entends ? Ma vision encore trouble me permis tout de même d'apercevoir mon voisin de classe ayant les mains sur mes épaules et qui semblait inquiet.

Je ne pouvais lui répondre alors je lui indiqua simplement une direction, celle de la salle de classe. Sans plus tarder il me pris le bras et m'y amena doucement, tranquillement. Une fois arriver, il me posa sur ma chaise alors qu'il s'accroupit à ma hauteur, devant moi.

- T-tu vas mieux ? Demande t'il en haussant un sourcil.

- Oui... Merci. Répondis je en me touchant le cœur.

-Qu'est-ce qu'il c'est passé ? Me demande t'il en posant sa main sur la mienne qui était posé sur ma cuisse.

- Une... crise d'angoisse je pense... Tentais je de rationaliser cet événement.

- Uhmm... Il sembler ce gratter une barbe invisible de sa deuxième main. Ça t'es déjà arriver ? Il me regardait dans les yeux.

- Non jamais. Répondis je du tac au tac.

- Bah mince alors... Il pencha la tête vers le bas et réfléchis.

Je le regardais alors que beaucoup d'élèves se mirent à rentrer tout a coup. Mon voisin se leva alors et s'assit à sa place avant de me regardait comme pour vérifier si j'allais bien. Puis son ami arriva, Augustin.

- Oh mais c'est que notre chère Ruggero prends de bonnes initiatives maintenant ? Il riait en passant de force devant nous pour s'installer à côté de... Ruggero ducoup.

- Oui grave grave c'est ça ! Riat-il.

- Ou al... Je n'entendis pas le reste car Agus lui dit à l'oreille.

Le professeur entrer alors ensuite en salle de classe et une seconde plus tard commençait son cours, c'est alors que Ruggero s'exclama.

- Monsieur ! Il se leva.

- Oui... Quoi encore Ruggero ? Demanda le prof.

Je pense qu'il s'agit du même qui la coller.

- Cette élève, en me pointant, ne vas pas très bien... Pourrais je l'amener à l'infirmerie ? Il se tenait droit et confiant et pourtant...

- Encore une excuse pour vous enfuir de mon cours...? Il baisser ses lunettes en soufflant ennuyer.

C'est alors que quelque chose d'irrealisable se produit... le professeur m'observait avant de détourner ses yeux vers Ruggero et c'est alors qu'il remis à toute vitesse ses lunettes et sourit.

-Bien vous êtes autorisé ! Mais Ruggeri je veux vous voir en fin de séance. Ce fut sa condition.

-Ca m'convient ! Merci m'sieur ! Il se déplaça et me fis signe de se lever.

Je me lève alors et le suis jusqu'a sortir de salle de classe.

- Pwouaaahhhh j'sais pas pourquoi il nous a laissé sortir mais on a réussit c'est l'important ! Il me regarde ensuite. On vas a l'infirmerie ? Je pense qu'il vaut mieux-être sûr que ton mini malaise n'est pas grave.

Je le suivais en silence dans les couloirs lorsqu'un autre garçon arriva en ouvrant une porte comme dans les films.

- Oh non pas lui... S'exclama tout bas Ruggero.

- Ruggero ! Mon p'tit rugg ! Comment ça va ?! Dit le garçon en face en tapotant l'épaule de Ruggero.

- B-bien..! Fit Ruggero en réemboitant son épaule ? Qu'est-ce tu fais dans les couloirs Seb ?

- Bah tu vois j'me baladais dehors puisque j'étais déjà en retard et puis j'ai vu la voiture du proviseur et j'ai tout de suite pensé que si Jorge, Agus et toi étiez là vous auriez foncé la chourave et vous barrez avec. Ducoup bah j'ai commencer a la démonter...

Ruggero fit une facepalm.

- Et puis j'ai été vu par le proviseur et il m'as foutu 8h de colles. Il me remarqua ensuite. Tiens c'est ta nouvelle copine ?

- N-... Il n'eut pas le temps de répondre.

- Whaaa Ruggero Pasquarelli à une copine ! C'est un scoop OH OUI UN GROS SCOOP ! Gg Rugg en plus elle est simple, pas trop exagéré, ni trop pas assez. Le perfect gros gg franchement nan gg ! Il partait en disant cela.

- Rhhooolala... Fit Ruggero en enfonçant sa main sur sa tête.

- C'etait qui ? Demandais-je.

- Oh ? Euh... Viens ! Il me prit par la main et il nous posa sur un petit banc dans le couloir. Alors nous sommes un groupe de 5 potes normaux:
Y'a Augustin Bernasconie, mon meilleur ami il aime beaucoup les blagues et il suit tout le monde comme un petit soldat.
Y'a Jorge Lopez, un pote du Nevada, il avait déménager vers les 5 ans et l'année dernière en arrivant au collège nous nous sommes retrouvés. C'est toujours lui qui a les pires idées au monde.
Y'a aussi Sebastian Villalobos, il est vraiment baraqué comme type, il a beaucoup de fille à ses pieds mais il n'est pas très futé, faute d'avoir eu une famille beaucoup trop pauvre.
Y'a un type en prison nommé Gaston Perida, il était un type normal, son rêve être un clown et je crois qu'il a prit ça trop à cœur puisqu'il est aller faire le clown au poste de police... pourtant c'était le plus sympa du groupe, reste à savoir comment il sera en revenant de prison d'ici 1 mois.
Et puis y'a moi Ruggero Pasquarelli, le dernier du groupe, arriver en 3eme dans cette ville et qui n'as pas passer de temps avec ces potes pendant les vacs car il était en vacance à New York hehe... M'enfin j'suis considéré comme le plus petit du groupe avec Agus, d'ailleurs comme t'as pu le voir avoir une fille avec moi semble inimaginable pour eux...

Je le regardait tout au long de son récit... J'aime beaucoup cette façon qu'il a de s'exprimer.

- Je comprends pas pourquoi c'est inimaginable puisque tu es gentils... dis je en regardant mes mains.

Je le regarde ensuite et il détourna le regard le visage rouge.

- Merci... C-c'est... ouais c'est cool ! J'taime bien... M'avoue t'il.

Je le regarde et souris, je sens ma chaleur corporelle monter mais je ne réponds pas à ce qu'il vient de dire.

- Hum hum... euh on devrait aller a l'infirmerie nan ? Il se lève.

Et nous allons tout deux à l'infirmerie.