PROLOGUE

140 6 0
                                    

Il sentait la fatigue, car ça faisait des heures qu'il marchait, ne pouvant s'arrêter comme s'il était attiré par ce qui se trouvait derrière cette porte lointaine qu'il pouvait apercevoir. Toutefois, malgré sa détermination à atteindre cette porte, c'est comme si la porte s'éloignait de lui au fur et à mesure qu'il l'approchait. Il se posait tout un t'as de questions du genre "Où suis-je? ", " Pourquoi suis-je en train de me marcher sans pouvoir m'arrêter? ", mais surtout pourquoi cette porte semblait l'appeler? Et " Que pouvait-il bien y avoir derrière cette porte? ".Il continuait de marcher tout en se posant des questions quand soudain un bruit le fit s'arrêter. Il s'arrêta net, en plus ce bruit ressemblait plus à un grognement qu'à autre chose. Il chercha tout autour de lui pour trouver la source de ce bruit mais il ne vit rien, mais continua tout de même d'avancer en restant sur ses gardes. Et puis quelques minutes plus tard, ce fut des bruits de pas lourds et même très lourds qui le firent s'arrêter. Là, il commençait à prendre peur, il était même terrifié et les pas semblaient se rapprocher de lui. Normalement, il aurait dû fuir mais tellement qu'il avait peur, il resta sur place, les bras et les jambes tremblantes jusqu'à ce que l'origine de ces pas arrive à ses yeux et là il écarquilla les yeux d'une façon exagérée si bien qu'on aurait cru que ses yeux allait sortir de leurs orbites et partir en courant, abandonnant ainsi leur place. En face de lui se tenait un monstre qu'il n'avait jamais vu aussi laid que sale. Le monstre avait un visage de "Taureau", au buste d'homme et avec des pâtes de bovidés pour jambes. Mais qu'elle horreur! Pensa-t-il  dans son esprit. Le monstre continuait de se rapprocher de lui et il se voyait minuscule face à lui. Le monstre grogne comme le grognement qu'il avait entendu tout à l'heure, au moins maintenant, il connaissait l'auteur de ces grognements. Il se maudissait et se frappait mentalement pour n'être pas parti en courant plutôt, maintenant c'était impossible vu comment le monstre se rapprochait, il était "foutu" S'est-il dit. Mais une voix qui semblait sortir du plus profond se son esprit lui dit "tends tes bras en avant" Et là il ne sait pas comment mais il réussit à bouger et instantanément. Quand il tendit les bras en avant, le monstre s'immobilisa comme si ses pattes étaient prises dans quelques chose, et la voix revint encore une fois "Maintenant cours le plus vite possible ".Quand la voix fût partie, il se rendit compte de la situation et se mit à courir aussi vite qu'il le pouvait jusqu'au seul endroit où il pouvait aller, c'est-à-dire vers cette porte qui maintenant semblait ne plus s'éloigner de lui, il ne comprenait pas pourquoi mais il ne se posa pas plus de questions et y alla sans se retourner. Cependant, un bruit le fit se retourner, et il remarqua que le monstre pouvait à nouveau bouger et qu'il lui courait à nouveau après. De plus ce monstre le rattrapait, et lui était déjà essoufflé. "Encore un peu... Encore un peu... Juste un peu" Se disait-il en tendant la mains vers le poignet de la porte sans pour autant l'attraper et quand le monstre fût sur le point de l'attraper, il fût comme poussé en avant par une main invisible et il pût atteindre la porte qu'il ouvrit à la volée et la referma aussitôt dans un grand fracas, fracas qui le fis ouvrir les yeux d'un seul coup.... Il était essoufflé et tout transpirant, il venait de rêver encore.......

Les Dieux de l'OlympeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant