Chapitre deux ❄

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Il était 5h45 du matin et il était debout. Pourquoi? Parce-qu'il venait de faire un horrible rêve avec cette fois-ci d'autres monstres encore plus étranges. Ces rêves commençaient sérieusement à l'agacer mais il ne savait pas quoi faire pour s'en débarrasser, déjà que ses rêves duraient maintenant depuis quelques années et voilà qu'ils commencent à devenir de plus en plus violents. Il faut qu'il trouve une solution si non soit c'est la folie, soit c'est direct chez le Psy et il n'avait envie d'aucuns des deux.

PV de Nathan

Après ma douche matinale pour éliminer toute la fatigue accumulée dans mon corps et dans mon esprit, je me posai sur mon lit en attendant que l'heure d'aller à l'école arrive. J'étais fatigué et je savais que j'avais besoin de repos car ces derniers temps, je n'arrivais pas à passer de bonnes nuits. Et j'aurais sûrement des cernes biens visibles aujourd'hui mais cela ne m'inquiète pas vu que je ne me soucis pas vraiment de mon apparence et du regard des autres.

Les gens disent que j'ai une beauté divine, pourtant je ne vois pas en quoi je serai divin? Tout chez moi est normal, à part peut-être les yeux bleus océan que j'ai. Je n'ai jamais vu personne avec ses yeux là, même ma mère ne les a pas. Elle, elle a les yeux plutôt marrons, mais à tout bien réfléchir peut-être que ces yeux me viennent de mon père. Je ne l'ai pas connu, car il s'est séparé de ma mère avant ma naissance.

Mon père, comment était-il? Je ne le savais pas car ma mère n'a rien voulu me dire à son sujet et à chaque fois que j'abordais le sujet, bah elle l'esquivait tout simplement. Donc au final j'ai fini par me résigner, c'était peut-être mieux ainsi. Je ne sais pas qu'est-ce que je ressens à l'égard de mon père mais il peut être sûr que si jamais je le vois, il ne recevra aucune attention de ma part, ça c'est "si" on avait l'occasion de se voir.

Quand l'heure arriva, je partis pour mon école et comme je m'y attendais, tous les regards étaient toujours et encore sur moi, mais cette fois-ci je n'était pas le seul point d'attention car il y avait aussi "Tom Adams" Un des mecs les plus beaux de l'école,selon les élèves. Mais il y avait aussi "Edward Jones" avec ses yeux d'un gris orageux et "Mike Sullivan" Avec ses yeux bleus électriques.

Tom était certes beau mais depuis la classe de 3eme il ne fait que me chercher des poux dans les cheveux, me bouscule quand il me voit, ce genre de trucs quoi pourtant je ne lui ai jamais rien fait ni même adressé la parole à ce que je sache. Mais comme je dis, je m'en fiche, ce n'est pas ça qui fera que je lui parlerai.

Edward Jones quant à lui, on ne s'est jamais parlé, on n'a pas de cours en commun et c'est aussi la même chose pour Mike Sullivan. Mais ce que l'on a en commun c'est le fait qu'on ne s'aime pas tous les quatre et ça je peux vous l'assurer.

Nous étions tous les quatre les uns en face des autres à nous jauger du regard et tous les autres élèves eux nous regardais sans broncher comme s'ils attendaient un truc, truc qui n'arrivera sûrement jamais. Je fus le premier à continuer mon chemin, les mains dans les poches et l'air"je m'en fou" Et ce fut comme un signal, car les trois autres bougèrent aussi. Et enfin le brouhaha reprit.

C'était la dernière heure de cour et je vous assuré que j'étais exténué, je ne le montrait pas mais j'avais terriblement sommeil. Je m'affalai à moitié sur ma table, la tête entre les bras et je ne sut pas à quel moment je m'endormir. C'est la voix du professeur qui me sortis de mes pensées ou plutôt rêves.

Prof: Mr Smith, à ce que je vois le cour vous passionne?

Moi: Désolé Mr mais je ne me sens pas très bien

Et au lieu de me répondre, il me fixa avec de gros yeux et toute la classe aussi, mais qu'est-ce qu'ils ont tous à me regarder ainsi? Et c'est là que je remarquai que du sang coulait de mes narines. Le professeur me donna la permission et j'allais aux toilettes. Mais en y arrivant, je me suis bien vite rendu compte que je n'était pas le seul à être dans ce état car il y'avait les soit disant "Beaux mecs" Tom, Mike et Edward qui avaient aussi du sang qui voulait de leurs narines. À la bonne heure, il ne manquerai plus qu'une maladie nous lie......

Les Dieux de l'OlympeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant