Il plaquait violemment son amante contre la porte de leur chambre. Le souffle court. Il vint déposer ses lèvres sur les siennes avec fougue, tout en laissant ses mains se balader sur son corps.
Elles partaient de ses hanches pour remonter le long de ses bras pour sur son visage. Il vint saisir son menton entre ses doigts pour approfondir le baiser de sa langue.
La brune se laissait faire. Son amant la relaxait rien qu'en la touchant. Ses mains suffisaient à faire s'emballer son cœur tandis que ses lèvres lui donnaient chaud. De plus en plus chaud.
"XiaoJun..." miaula-t-elle, le souffle court, entre deux baisers.
Le brun déposait violemment ses mains sur les fesses de sa petite amie, la forçant à encercler ses jambes autour de sa taille. Ce qu'elle fit sans hésiter.
Le baiser continuait. Le brun y avait ajouté sa langue. Cette dernière ne cessait de jouer avec sa jumelle, cherchant le plus de contact possible. Faisant soupirer d'aise la brune.
Le Chinois marchait jusqu'à leur lit. Il y déposait la jeune femme, puis la fit reculer au fond du matelas, sans détacher ses lèvres des siennes. Il déposait sa main sur sa joue.
La demoiselle se cambrait alors que la main libre de son amant glissait sur sa cheville nue, puis remontait le long de sa cuisse, la faisant frissonner. Elle saisissait le visage du brun en coupe puis séparait leurs lèvres.
Le jeune homme la regardait, les yeux voilés de désirs, le souffle court, une érection déjà visible dans son bas, et les lèvres rougies par leur précédent échange.
La demoiselle regardait tendrement son homme. Elle caressait sa joue puis fit glisser sa main dans ses cheveux. Elle semblait plus apaisée, comme si leurs nombreuses disputes n'avaient jamais eues lieu.
Le brun vint déposer ses lèvres sur son front, puis sur son cou, ses clavicules et la naissance de sa poitrine. La demoiselle se laissait faire, submergée de sensations aussi divines les unes que les autres.
Son amant vint écarter ses jambes puis se placer entre elle, en remontant son visage vers le sien. Pourtant il n'y fit rien. Il se contentait de plonger sa tête dans le cou de sa douce afin de la marquer.
Ce soir là, ils avaient partagé le même lit, les mêmes sensations, les mêmes soupirs, les mêmes jurons et sentit tout deux des mains caresser tendrement leur peau.
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