Samatar, un jeune garçon de 16 ans, est amoureux d’une fille qui a meme age que lui. Ce garçon observe toujours la caractère de cette poulette. Dès qu’il est chez lui, il ne pense qu’elle, dès qu’elle prie, son esprit ne se demande qu’elle et des fois, il prononce son nom dans la prière au lieu de lire des sourates. Samatar est vraiment amoureux cette jeune fille appelée Madina. Le jeune gamin habite à Balbala cheikh moussa, spécialement à la proximité de restaurant Nour ‘Madoobe’ et sa chère copine réside à Balbala cheikh moussa, au près de DJIBOUTI-TELECOM. Il s’est scolarisé Al-Madarasa et c’est depuis son scolarisation de ce cours, qu’il a vu cette jeune mignonne. Dès le premier jour, il est tombé amoureux d’elle. Et chaque fois, il ne regardait qu’elle, il ne suivait point ce que le ‘’istaad’’ enseignait. Il lui raménait des nourritures comme ( xalaawad, biscuits, bonbon) et elle était vraiment satisfaite. Samatar ne mangeait point de son oseille car il préservait pour lui acheter des quelques choses. Un soir, en rentrant dans la salle comme d’habitude, il lui a octroyé des bonbons, biscuits et 50 FDJ. Comme la plupart des filles sont des orgueilleuses, elle a pris les bonbons puis rejeté le pognon. Il s’inquiétait pour elle, en disant qu’est-ce qui ne va pas aujourd’hui ? il n’est pas vraiment normal ce gars car son age, sa forme et ses paroles ne font pas de la meme chose. Lorsqu’il parle, on dirait qu’un chiard de 3ème année parle mais normallement, il est pourtant un grand homme.
L’histoire continua et il était sempiternellement myope car il aimait trop à cette fille qui ne connaissait meme pas s’il existe ou pas. A chaque fois qu’il rentre dans la salle, il avait l’envie de délivrer son amour à elle mais il n’avait point le courage de lui évoquer. Un soir, en rejoignant Al-madarasa, la fille m’adressa la parole en me disant "comment vas-tu cher frère"? je lui ai répliqué « je vais bien al-hamdoulilah » et la famille, elle m’interrogea « ainsi qu’eux, déclarais-je ». à ce moment, le jeune mome me regardait d’une manière très colère et il était aussi curieux que le jour qu’il est né. Il voulait etre ami avec moi, mais j’ai continuellement resté à l’écart de tous les élèves. Le « istaad » commença le qiraat et je ne l'avais point. C’était un moyen de me discuter car il m’a appelé pour que je puisse lire avec lui, son qiraat. Dès que je suis allé pour m’asseoir à coté de lui, il a entamé de m’exiger des questions carrément bizarre. Je n’étais pas époustouflé certes, je me disais « laisse, il est encore très petit à ton age ». de plus en plus, il continua ses questions et puis je me suis dressé sur mes ergots « jeune homme, suis ton qiraat et cesses de crier sur moi car je ne peux plus supporter plus que ça ». Mon ami m’a pris pour un policier et toute de suite, il a fermé sa bouche « no more talk ». L’heure de cours est fini, et on est sorti pacifiquement sans aucun problème. Il me poursuivait en observant là où j’allais, il a vu que j’étais avec elle et sa petite sœur, toutes les deux me demandaient la situation de la famille. Il fut étonné et parti. Je suis parti sitot et allé à la mosquée pour prier, il m’a vu dans la mosquée et s’est demandé, où est-ce qu’elle est partie la fille ?
Le soir qui suit, je suis allé en retar et j’ai toqué la porte avec un respect puis le « istaad » m’a autorisé que je rentre et comme d’habitude, je me suis installé au fond de la classe sans que j’aie « Culuum, Fiqi, Tawxiid ». Le ‘’istaad’’ commença et m’évoqua de m’asseoir à coté d’un quelqu’un qui a tous ces livres. Dès mon levé, il était le premier qui m’a appelé. Je lui ai douté toutefois, je me suis assis à son coté et suis les leçons. J’étais très harassé à ce soir et il ne cessait point de répéter des memes questions nonchalantes.
«Waar sheeka badanidaa» disais-je.
A suivre…
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les fous amoureux
Short Storysamatar, L'amoureux d'une jeune fille. Il ne pense plus sa vie.