La suite d'histoire de Samatar,l'amoureux d'une fille

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«waar ma sheeko badanyehee, idhagayso saxiib»
--Je suis follement amoureux de cette poulette et elle ne me jaspine guère et je ne déniche aucune solution pour régler ces défaillances. Donc si tu es un vrai homme, je vous attends une solution adéquate.
J’ai pris la parole en lui convainquant.
--Mon petit frère, je sais que tu es tombé amoureux d’elle, toutefois, elle te considère comme si tu n’existais point, donc, ce n’est plus la peine de lui avouer ton amour car déjà, elle ne t’octroie aucune valeur.
Le gamin tourna la tete vers elle et regarda  pendant des minutes et puis, le «Istaad»  entama de nous réciter le saint Coran et j’ai ouvert  le Kitaab avec la main droite. En ce moment, mon mami avait la tete dans le nuage.  Il ne pensait qu’elle. Ce prolétaire, passait son temps comme étant un mendigot car  ses sentiments ont pris le dessus.
D’un seul coup, le professeur nous regarda et vit qu’il n’écoutait plus ce qu’il nous récitait et expliquait pendant des minutes. Il exigea une question et il n’arriva point à répliquer. Le professeur se charma et nous nous fermames.  Les minutes passèrent et il l’avait perpétuellement dans sa pension. La fille me salua, il était encore époustouflé car il pensait que je suis amoureux d’elle.
Nous sommes sortis à 20H20 comme d’habitude et sa petite sœur est venue pour me saluer ainsi que sa grande sœur. Mon ami était au tour de moi en m’observant comme toujours. Un istaad est venu pour me saluer aussi ainsi que les deux sœurs car il était mon cousin. Une élève est venue en disant «istaad,est-ce que tu connais cet élève ? » et il a répondu que j’étais son petit cousin.
Je suis parti et je me suis rendu à la mosquée pour prier et  je lui ai vu dans la mosquée mais aucun discussion n’a eu lieu entre nous. En priant, il sortait de la mosquée et il me regardait méchamment. Pourtant, je priais mais le démone a fait tourner une partie de ma tete pour lui voir. 

Le soir qui suit, je suis encore venu à la bourre et j’ai toqué la porte comme toujours. Car ma mère m’a appris la courtoisie et la discipline. A ma surprise, notre istaad était absent car il était malade et un nouveau istaad qui avait l’air d’un petit français nous enseignait. En voyant son visage, j’ai su qu’il était mon ex coéquipier de football. Il m’a salué chaleureusement et m’a aussi donné du respect et aussi respecter était mon droit. Comme je n’avais pas ‘’ culuum et fiqi’’, je n’avais pas le choix de s’asseoir là où je voulais mais j’étais obligé de m’asseoir à coté d’un individu qui les avait. Mais comme j’avais l’air harasser, je suis allé tout seul au fond de la classe et j’ai demandé à Madina si elle pourrait me preter les siens. Elle me les preta et j’étais fier d’elle en évoquant Merci chère cousine.  Durant notre conversation, le gamin, «uu iga dhex baxayba ». après avoir lu le culum et le fiqi, il  m’a interrogé si jepourrais s’asseoir au près de lui toutefois, je lui ai rejeté car je savais qu’il va certainement m’emmerder.
Vous avez quoi d’autres ? déclara le professeur.
Le saint coran, disaient les filles.
Alors, ouvrez vos kitaabs, disait-il
Je n’avais point le kitaab. J’ai levé la main et demandé à istaad si je pourrais me déplacer. Par sa générosité, il m’a accepté et je me suis installé à son coté. Tu vis dans la prolétariat, dit-il ?
Pourquoi ? déclarais-je.
Parce que tu n’apporte jamais des livres.
Ce n’est pas une question de pauvreté, certes, nous sommes «aakhiro shahar » répliquais-je.

Aujourd’hui, tu vas bien ? disais-je.
Oui, je me porte bien. Pourquoi ? exigea –t-il.
Parce que tu ne me demandes plus la situation de Madina.
Je voulais exactement vous interroger maintenant mais frère,elle reste continuellement indemne.
Sois un vrai pour dévoiler ton amour là où tu es, disais-je.
Mais je suis un loupiot phobique frère toutefois, si tu me l’appelles, je dirai au moins quelques mots pour qu’elle sache ma sensation.
Waryaa, ne sois pas un con, tes mots doivent etre attirants pour séduire la fille, disais-je.
Il continua de raconter des histoires que j’ai faillu de vomir lorsqu’il les parlait.
Et je n’avais point l’intention de les écouter. Car il disait que le mirage et l’eau sont pareils.

Frère, s’il vous plait
«jooji sheekadan bilaamacniga ah» répliquais-je.

                                        A suivre...

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 09, 2019 ⏰

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