changki - monsta x
[réécrit]
[terminé]
si seulement j'étais là.
cette phrase que je répétais chaque journée sans cesse.
la cause était tout simplement la culpabilité.
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"l'amour : Sentiment vif qui pousse à aimer quelqu'un , à vouloir du bien, à aider en s'identifiant plus ou moins."
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je l'aimais du plus profond de mon coeur. j'en était clairement fou.
cette histoire de meurtre attrirais clairement ma conscience. je voulais savoir. savoir qui la tué.
savoir qui je devrais haïr jusqu'à la fin de mes jours. car il me manquais, terriblement.
c'est comme une sensation d'une partie de sois arrachée, il me manquais une partie.
je pense que mon cerveau avais marre d'entendre la fameuse phrase si seulement...
j'essaie donc d'arrêter de penser à changkyun, j'essayais donc de vivre une vie normal de lycéen et dernière année stressant chaque jour pour ses examens.
mais vivre chaque jours avec un souvenir de lui était horrible.
quand je rangeais mes affaires, je regardais le casier de ma moitié et des souvenirs revenais.
en cours, lorsque j'ouvrais mon cahier, je trouvais des mots écrit par kyun et certaines de nos conversations, j'en riait pensant qu'on était bête.
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-kihyun ! attend moi ! -bouge toi kyun, le portail va bientôt fermer.
c'est comme ça que nous nous sommes retrouvé coincé dans le lycée. changkyun avais pleurer tellement il avais peur mais nous avons escaladé le portail.
changkyun pleurais à chaude larmes dans mes bras. il est vraiment phobique de l'école.
moi, je rigolais de cette scène. l'avoir dans mes bras, lui, le changkyun mystérieux et insensible ? tout le monde en rêvais
pourtant j'etait le seul à en avoir le droit
car changkyun me trouvais pas comme les autres, il me disais différent.
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mes pensées était absorbées par sa présence omniprésente.
kyun était l'une des seules personnes qui pouvais me faire ressentir tout ce genre d'émotions. je l'aimais tellement.
j'étais perplexe du faite qu'il ne l'avais pas encore compris mais j'avais espérer vivre ma période amoureuse avec lui.
va savoir comment, mais mon esprit me guida vers l'idée que je le reverrai bientôt, pour le plus grand bonheur de mon être dépourvu de joie.
