chapitre 32 : The End Is Comming

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Alors que je pensais que Zayn n'allait jouer le jeu qu'à moitié en se mettant proche de la femme et chantonner, pour faire mine qu'il veut simplement faire passer le temps. Mais lorsque j'ai tourné la tête, je l'ai vue, a genoux, tenant la main de la vielle femme dans la sienne en lui chantant ce refrain que j'aime tan...

Qu'est ce que j'aimerai qu'un jour quelqu'un m'écrive une chanson et me la chante, a moi seule. Niall si tu pouvais entendre mes pensées elles sont pour toi petit ange ! En fait je n'en ai jamais réellement parlé à quelqu'un a par une fois à Louis mais ce fus bref... Je ne pense pas qu'il s'en souvienne. Je secoua la tête pour effacer ces pensées absurdes et me concentra sur Zayn. Après le fameux " I'm in love with you, and all your little things " la vielle dame se mise a frappée le beau brun avec son sac à main. Le pauvre il s'en prend toujours des tonnes ! Au bout de 5 minutes il réussis a calmer la dame qui finie par l'excuser et à lui adresser un sourire.
Zayn revient une main sur la tête et un regard triomphant.
Zayn :- j'ai peu être une bosse mais en attendant je l'ai fait !!!

J'allais répliquer mais une femme m'interpella.

Infirmière :- Excusez moi, Amandine ?
moi :- Oui ?
infirmière :- Il faut que vous reveniez dans votre chambre, un médecin doit vous informer de deux trois petites choses et ensuite vous pourrez récuperer vos affaires et partir.

Je fit un signe vers les garçons en lui demandant s'ils pouvaient venir avec moi, ce a quoi elle répondie négativement. Elle partie et je souffla d'ennuie. Je me leva difficilement et Niall me pris dans ses bras, puis me fit un baisé sur le front. Je baissa la tête et avança vers l'entré de l'hopital, traînant ma tringle de perfusions. Je déteste vraiment cet endroit. C'est tellement lugubre, sans vie, triste et pal. Aucune couleur, aucune gaité, aucun geste de bonheur. Seulement des personnes défilant en blouse blanche pour aller fourré ses mains dans un corps ouvert et des patients en blouses peu estétiques qui se demandent qui de ces médecins vas le triturer de l'interieur. Je voie plusieurs famille qui pleurs ainsi que de nombreuses personnes hurlant de douleur en attendant des soins. Je me sens coupable parce que, alors que je ne souffre pas et que je me sens en pleine forme, des médecins s'occupent de moi, alors que d'autre hurlent pour essayer d'évacuer la douleur mais ne sont pas encore traités. Les pauvres, a leur place je m'étranglerai avec les tubes de mes perfusions. Je traversait ce couloir sans vie jusqu'a ma chambre. Une fois entré, je vit un homme en blouse blanche se retourner. Il tendit sa main, je la saisie et lui adressa un faible sourire. Il jette un coup d'oeil a mon dossier médical avant de prendre sa respiration. Avant qu'il ne dise quoi que ce soit j'avais remarquer le petit badge " cancérologue " présent sur sa blouse, je parla donc la première, le coupant dans son élant.

moi :- Je le sait, ce n'est pas la peine de me faire un discours, je le sait que j'ai un cancer du poumon.
Médecin :- Je suis désolé... mais du coup j'ai quelques précisions a vous apportées. Vous ne devez plus faire de trop long trajet a pied, plus courir du tout ou faire tout autre sport, de toute façon vous n'y arriverez pas. Vous allez devoir commencer la chimiotérapie dans deux semaines. Par la suite vous perdrez vos cheveux et vous n'aurez quasiment plus de force les 3 jours suivant la scéance. Il y en aura une toute les deux semaines.
moi :- Est ce que j'ai des chances de m'en sortir ?
Médecin :- On ne vas pas se mentir, je vous donne 1 an, si vous réagissez bien aux traitements. Sinon, quelques mois. Et si vous refaite une crise comme la dernière, vous mourrez sur le champ.
moi :- Parfait. Je peux m'en aller maintenant ?

Il me fit un signe de main, pour me faire comprendre que je pouvais disposée. Je pris mon sac posé sur le lit et m'en allât d'un pas presser. Je déteste ce type, il est complètement indifférent quand il me dit que je vais mourir et il est limite en train de me dire " allez crever je m'en fou, mon job c'est juste de vous dire ce que vous avez ". Je déteste ça. Une fois arrivée dans le jardin je les vit, tous allongés dans l'herbe. Je m'apporchas lentement et me joins a eux. Je me glissât entre Louis et Niall, m'affaissant a moitié sur ce dernier. Il ouvrit les yeux aux contacte de notre peau et me souris. Il m'embrassa tendrement. Je commença a fermer les yeux pour peut être m'assoupir mais Louis gâchât ce moment de calme

Louis :- Sérieux t'a un gros cul, on étaient bien et toi tu met tes grosse fesse entre nous du coup y'a plus de place.
moi :- ha ha, bah on s'en vas ? J'aimerai bien quitter cet endroit !
Harry :- Ouais pareil j'en ai marre.
Zayn :- Il t'a dit quoi le médecin ?
moi :- Heu rien il m'a parler de ma chimio, de mon futur...
Niall :- Et comment ça vas ce passer ?

Je plongea mon regard dans le sien. Il était plein de tristesse et de peur. Ses yeux bleu étaient toujours rougis par les larmes qui ne cessaient de couler depuis que j'était arrivée ici. Il m'avait raconter qu'il n'avait jamais pleurer autant. Ça me fait mal au coeur. Déjà, de me dire que dans un an, je le quitterai a jamais et que dans un an, il aura ces même yeux rouges et gonflés. Je suis désoler de te faire du mal Niall... Je tourna la tête et vie les mêmes sentiment dans les yeux d'Harry, Louis, Zayn et Liam. Les gars ne m'en voulez pas, je ne désirais pas tout ca. Mais je vous avez prévenue que je ne serai que cause de problèmes. Je ne veux pas vous quittez croyez moi !
Je ne voulais pas leur faire de peine pour le moment, je leur avouerais la vérité qu'au moment ou je n'aurai plus le choix....

moi :- T'inquiète pas c'est pas tout de suite que j'arrêterai de vous faire chier.

I want you back - One DirectionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant