Dépression

chapitre VIII

On commande nos plats, ça fait 20 minutes on reste en silence, une tension s' installe entre nous. C' est pas de chance il n' a pas la Bonne compagne.
- on dirait que je dois briser la glace que tu as mis entre nous dit Nick
Moi ,une glace je ris. Et bien il arrive à me faire rire.
- je te fais rire.
Je Le regarde bon oui je ne veux pas m' investir et commencer à connaître quelqu'un et Le voir partir.
- Non , bon je t' ai expliqué Pourquoi j' avais pas répondu aux sms mais ce dîner j' aurais dû répondre en ce moment je serai dans mon bain chaud.
- c' est un bain chaud que tu veux tu devrais me Le dire on aurait pris une route.
- Quoi non pas avec toi.
Le frisson recommence, entrelacée entre ses bras d'acier je crois pas que je survivrai.
- bon de toute manière Les plats arrivent.
L' image commençait à trop durer Dans ma tête merci au serveur qui interrompt mes pensées.
- Oú est- ce que tu as rencontré Sandy et Jacques?
Maintenant que j' ai retrouvé mon bon sens.
- Jacques et moi étions à la même faculté, j' étais là quand Elle a rencontré Sandy.
Et il n' était pas au mariage je m' aurai rappelé de son visage.
- J'étais au chevet de ma grand mère quand Jacques se mariait .
- et ,comment va t- Elle?
- Elle est décédée.
Ses traits se durcissent , je m' en veux maintenant d'avoir entamé ce sujet.
- je suis désolée, mes condoléances.
-c'est pas grave tu savais pas.
Il boit une gorgée de son verre de vin
- et Toi, tu es célibataire?
Arr, que je déteste cette question , parfois je ne sais même pas quoi répondre, Jay ne me veut pas dans sa vie.
- oui et Toi?
- bien sûr
on dirait qu' il fait parti des célibataires endurcies.
- Euh ok, et si on changeait de sujet. À quelle heure on va partir de ce restaurant. Le plat était succulent.
Je pense à mon lit, la fatigue se fait sentir , je masse un peu mon cou.
- oh ok je vois, je Le dirai au chef de ta part.
Ah bon il connait Le chef ,c'est un cuisinier célèbre Les critiques mentionnent toujours son nom.
- Merci.
- Sinon je peux te masser la nuque.
Je me précipite de refuser,pas question que ses doigts touche ma peau.
-Et si on rentrait.