Le mot depression est utilisée en tord et à travers, en quelque années c'est passé d'un sujets tabous à un effets de mode, bien sûr sa reste un sujet sensible dans notre société actuelle mais les collègeq et lycées sont hors de cela, les élèves en parle entre-eux, en abuse, l'utilise pour se rendre intéressant et qu'on fasse attention à eux. Pourtant très peux connaisse la lente descente en enfers, la souffrance qui, au début, est légère et périodique et qui peux a peux se colle à nous comme une sansus éternelle. Enfin éternelle... au bout d'un moment on ne ressent plus cette souffrance, elle est la tapis au fond de ton esprit mais tu ne la sens plus, enfaîte tu ne ressent plus rien, tu te sens vide de toute émotions, tu es vide de toute émotions...c'est a partir de se moments là, que tu fais le plus de conneries, on ne se retiens plus car c'est nos sentiments qui nous retenaient, quant on ne les a plus... on
Se lâche enfin, on prends nos lames, celle qu'on a sortie de nos taille crayon, de nos rasoirs... on prends cuteur ou couteau... on prends la lame qu'on préfère, celle qui coupe le mieux ou au contraire qui te déchire la peau et la chair, qui te fais le plus mal, celle qui, quand elle glisse en toi te fais monter au septième ciel. Tu la prends et tu t'ouvres les veines, les bras, le ventre, les jambes... tu prends la clope que tu a allumer et tu l'éteins sur toi-même. En bref tu n'en a rien à faire de te détruire, de la vie et du mal que tu fais au autre en étant dans cette état.... Bien sur se n'est qu'un sorte de dépression, celle que je connais le mieux, celle que je vie, celle que d'autre vivent aussi, pas forcément à la même intensité....
VOUS LISEZ
le mal-être
Non-FictionHey, désoler pour tous se qui pense que cette histoire peut-être drôle. cette histoire sera tous le contraire, elle parlera d'harcèlement, de douleurs, de dépression... enfin rien de joyeux, rien de bisounours ou de licorne qui vomit des arc-en-ciel...