Chapitre 1

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MAIS GARDE TON AIGUILLE POUR TON CUL !

Je ne veux pas que tu injectes un truc dans mon corps, en plus ça fait mal.

Je regarde ma mère mais elle m'ignore

Je soupire et je laisse le médecin me faire les examens de routine pour vérifier que je ne sois pas malade afin de faire le vaccin.

Mais alors qu'il vérifiait mes pieds, il se figea.

- Oh mon dieu...

- Quoi ? dis-je paniquée

- Et bien vous avez toujours vos articulations aux petits orteils.

Ha.

Ha.

VA TE FAIRE FOUTRE !

Je sais bien que tu voulais faire humoriste et que ton père t'a forcé à être médecin Jean-Claude mais pas la peine de me faire subir ta frustration.

Pauvre con sado maso va.

- Ha ha c'est vrai que ça ne changera pas. dit ma mère dans un sourire forcé

Le malaise est présent mais le médecin continue de pouffer à sa propre blague.

Je soupire et il fait son examen.

Bon je vais vous passer le moment du vaccin car ça devient long.

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- YUM YUM ATTENDS-MOI ! gueula Cho

On rentrait du lycée, le lendemain de tout ça.

Mon bras droit me fait un mal de chien et je n'ose pas enlever le pansement alors que normalement je suis censée l'avoir enlevé l'heure après le vaccin.

Et oui elle m'a appelé Yum Yum.

Car pour éviter d'avoir la honte ou d'avoir l'impression d'être une star, mes amies m'appellent Yumi car selon elles je rêve beaucoup et rêve se dit Yume.

Voilà.

Je crois que c'est la démarche que des parents censés auraient du faire mais quand j'ai vu mon père regarder la patte patrouille avec mes cousins, je ne m'étonne plus de rien.

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Je prends le bus 708 comme toi.

- Mais tu habites à l'opposé Cho.

- Mais y'a un violeur qui touche dans le mien donc je prends ton bus pour aller jusqu'à la station de tram et la prendre jusque chez moi.

- ...et la police n'a rien fait ?

- Et bien ils ont envoyé une infiltré mais le temps que le violeur la pelote, on n'est pas en sécurité.

- Je vois.

On marcha alors jusqu'au bus et on monta mais alors qu'on était assise, un type se mit en face de nous alors que les autres places étaient libres.

Je soupirais.

Pourquoi les gens font ça ?

Le type gigota un peu et appuya pour descendre sauf que le bus s'arrêta violemment et il s'écrasa littéralement sur moi.

Je ne bougeais pas, il s'excusa et partit.

Sauf que....

L'arrêt suivant la police et le héro Endeavor montèrent en nous montrant alors une photo de ce type.

Et ils nous annoncèrent surtout qu'il ne fallait pas le toucher en cas de grands risques.

Et là je me suis dit :

Quelle journée de merde.

Yuei n'est qu'à un pet [MHA]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant