Larry Stylinson OS

Him

Je suis peut-être fou, mais j'ai l'impression que dans une autre vie, nous avons fait un bout de chemin ensemble, et ça s'est mal terminé.

La vie nous a fait rencontrer pour qu'on répare ce qui a bien pu se passer.

La première fois que je t'ai vu, tu m'as directement intrigué. T'avais cette aura qui me faisait tant vibrer. C'était inexplicable.

Un jour, je suis venu te parler alors que je ne me sentais pas bien. Je me rappelle encore ce que tu m'avais dit :

« Qu'on se parle, ici, maintenant, ce n'est pas un fruit du hasard. On devait se rencontrer. Merci »

Et ce « merci » m'a énormément chamboulé. Pourquoi, merci? J'étais simplement un mec qui venait se plaindre et toi, tu m'as directement accueilli dans tes bras. Littéralement d'ailleurs, ce jour-là, tu m'avais serré tellement fort, que j'avais pu sentir le « Tu n'es plus seul. »

Après ce moment, on ne s'est plus lâché. On est devenu deux inséparables. Au plus grand malheur de ta copine. Je n'ai jamais voulu que vous vous sépariez. Tout ce que je voulais, c'est pouvoir t'avoir à mes côtés. Juste un peu.

Un jour, tu m'as dit :

« Aime-toi avant d'aimer les autres »

Le regard que tu m'avais donné voulait dire tellement. C'était une phrase bien simple, mais j'y ai pensé beaucoup trop longtemps à cette phrase. J'étais au courant que je ne m'aimais pas, mais était-ce si grave que je ne sois pas pleinement confiant? C'est fait pour ça les amitiés non? Être bien entouré aide à rester la tête au-dessus de l'eau non?

Et ensuite... Des hauts, BEAUCOUP de bas. Depuis que tu m'avais dit ça, je pensais que je ne te méritais pas, que si tu m'avais dit ça, c'était pour passer subtilement le message que tu ne m'appréciais plus autant qu'au début. J'ai pensé, pensé, pensé, et puis j'ai réalisé.

Oui, tu me le disais à moi, mais tu le disais aussi à toi-même. Pour ne pas te blesser.

Dans un sens, je t'effrayais, je crois. On était si proche, mais si loin. Tu as commencé à t'éloigner, et moi aussi d'ailleurs. J'ai repris mes bonnes vieilles habitudes. Fuir tout ce qui se complique, pour ne pas blesser les autres qui m'entourent. Je me suis dit que je n'avais pas le droit d'avoir un ami aussi formidable. Qui me soutenait, avec qui on avait une tonne de conneries que seuls nous pouvaient comprendre, ou même rigoler. Quelqu'un avec qui je pouvais ENFIN être moi.

Tu ne m'as pas tout raconté de ton côté, et jamais je ne te forcerai, mais tu es extrêmement brisé et blessé de la vie. Et je sais que ça te demande beaucoup d'effort, mais j'aimerais être celle qui t'aide, juste un peu, à t'ouvrir. Tu as, à quelques moments, mentionné certaines choses de ton ancien toi, et je t'en serai à jamais reconnaissant. Tu n'es plus seul.  Je te le promets. 

On est ce genre de relation qui s'aide mutuellement. Qui même si les deux côtés sont arrachés, brisés, on s'accroche à la vie, et on essaie de ne pas abandonner. On s'accroche au peu qui nous reste, et on essaie de créer notre futur.

Je ne sais pas ce que tu vois en moi qui te fait autant « t'attacher » à ma personne, mais c'est à mon tour maintenant : merci.

Merci, parce que sans toi, je n'en serais pas où j'en suis aujourd'hui.

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Hello!
I'm back après une longue pause... Tant de chose me sont arrivés, pouah.

Mais donc, ce OS est très cher à mes yeux, ils sort tout droit de mon coeur.

Vos commentaires, vos avis, sentiments... JE VEUX votre opinion sur le sujet du OS!

Merci infiniment à vous, même si peu liront ce OS.

Take care, all the love xxx