chapitre 4

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Natsu💣

J'appréhende  beaucoup la journée d'aujourd'hui. Putain je vais allés chez heartifilia dans moins de deux heures c'est horrible.
Je vais allés chez la fille qui veut absolument que je la prenne.
Nan mais quelle idée de me mettre en duo  avec elle, merci monsieur.

Ça serait mentir de dire que Lucy n'est pas belle. Faut être aveugle pour ne pas bandé devant ses formes plus que généreuse.
Je me fais violence  tout les jours pour le repousser à chaque fois.

J'ai l'impression qu'elle n'est pas elle même. J'ai l'impression qu'elle joue un personnage qu'elle n'est pas. Et  je pense que c'est peut-être dû à un passer douloureux?

Je dis ça parce qu'à un certain moment de ma vie j'étais comme elle. Je couchais avec tout ce qui bouge.
Les coups d'un soir étai mon passe temp favoris.
J'aimais prendre du plaisir avec les filles le soir et de les jeter le lendemain.
J'avais pas de limite et même les plan à trois étaient les bienvenus.
Oui !
J'étais un salop et je l'admet.

Parfois je lis de la tristesse et même du dégoût dans ses yeux, comme si elle se dégoutée?
Je veux l'aider mais comment?
Oui! je la regarde. Beaucoup même mais ça personne ne le sait et c'est mieux ainsi.

Je la repousse tout le temps parce que j'ai pas envie d'être un autre mec qu'elle s'est tapé sur sa liste.
Je veux découvrir la vrai Lucy. Celle qui n'a rien à voir avec la chaudasse , la meuf qui se fait tout  les mecs du lycée. Je veux juste découvrir Lucy heartifilia.

Je suis devant la porte des heartifilia depuis 15minute maintenant.
L'angoisse prend possession de mon corps.

Qu'est ce qui va m'attendre une fois à l'intérieur?

Est-ce qu'elle essaierait encore une nouvelle approche pour m'avoir?

Beaucoup de questions se bouscule dans ma tête. J'ai jamais été autant angoissé à l'idée d'aller voir une fille. Je suis littéralement entrain de flipper. Ne riez surtout pas je suis sérieux.

Je prends mon courage à deux mains et souffle un bon coup avant de toquer à sa porte.
Elle ne tarde pas a venir ouvrir et me regarde avec un sourire moqueur.

"T'ES en retard de quinze minutes" me dit elle simplement.

Je ne sais même pas quoi dire tellement je suis hypnotisé par ce qu'elle porte. J'ai beugué.
Non mais quelle idée de venir ouvrir les invités dans une tenue pareille?
Elle porte un short court. Trop court qui lui arrive juste en dessous des fesses et un crop-top troué de partout laissant voir son soutif et la naissance de ses seins.

"Nan mais ça va pas de venir ouvrir à ton invité avec une tenue pareille?" Je lui dis énervé.

"Ça te plaît pas Natsu?" Dit elle en ricanant.

Je ne réponds rien et la pousse pour entré sans son autorisation. Je m'assois par terre parce que j'aime ça et sort mes affaires pour commencer la dissertation.
Elle me rejoint quelques minutes plus tard avec son PC et des boissons.
Sans rien dire elle s'assoit à mes côtés et on commence à travailler  sérieusement ce qui me surprend grandement d'elle.
Je comprends pourquoi elle a de bonne note. Elle est super sérieuse quand elle travaille, on dirait une autre Lucy.

Enfin on a terminé. Je regarde ma montre et Constate qu'il est 20h02. Oulah on a été long mais le sujet était vraiment pas facile à faire.


"Je rentre ". Lui dis-je après m'être attirer.

Alors que je m'y attendais pas, je me retrouve plaqué au sol dans un mouvement brusque m'arrachant un douloureux gémissement.

" T'ES folle putain". Je lui hurle énervé.

"Folle de toi". Dit elle en s'asseyant sur moi.

"Tu es dans la merde Natsu" me souffle ma conscience comme si je savais pas...

" Bouge de moi heartifilia". Je lui dis fermement en essayant de la faire dégagé.

Mais elle n'a vraiment pas l'air d'être du même avis que moi
Puisqu'elle s'appuie encore plus sur mon... Euh...vous comprenez, ce qui m'aurait arraché un gémissement de plaisir si je m'étais pas fais violence de ne pas gémir. Je ferme les yeux et essaie de me contenir et d'essayer de me sortir de cette situation.
Moi qui croyais qu'elle n'allait rien tenter...

Elle se frotte un peu à moi me faisait serrer les poings. Putain elle s'est comment faire succomber un mec.
Mais je ne succomberai pas.

Elle se penche vers moi et sort sa langue pour me léché les lèvres. Je ne dis rien et la regarde droit dans les yeux.
Elle me regards avec désirs mais en la regardant encore plus, je pouvais apercevoir dans son regard une lueur de tristesse.
Une tristesse profonde.

Même avec le rôle d'allumeuse   qu'elle se force à jouer, son regard en dévoile plus sur elle.
Son regard me montre que cette fille devant moi à besoin d'aide.

Je la retourne brusquement la surprenant.
Je me colle encore plus à elle la faisant gémir.
J'avance ma tête jusqu'à être à quelques centimètres d'elle avant de sorti ma langue pour lui lécher sa lèvre inférieure comme elle l'a fait avec moi.

J'avance encore plus ma tête jusqu'à ce que nos nez se touchent et elle ferme instinctivement les yeux.
Je lui embrasse doucement les lèvres d'un petit smack,
Puis un deuxième et un troisième avant de l'embrasser réellement.
C'était un doux baiser qui arrive à parsemer tout mon être de multiples frissons.
Je lui suce les lèvres avec délice.
Elle répond à mon baiser et l'apprécie encore plus que moi.

Je me sépare un peu d'elle. Non sans oublier de lui mordre la lèvre inférieure.
Elle gémit dans ma bouche augmenter les frissons qui parcouraient mon corps.

Je la re-embrasse encore, insérant ma langue dans sa délicieuses bouche.
Elle gémit de plaisir quand ma langue entre en contact avec la sienne et se frotte à moi.
Je délecte chaque saveur que m'offre sa gracieuse bouche.
Jamais une fille ne m'a fait autant perdre la tête et j'avoue que c'est super plaisant.

Elle soupire de frustration quand je décide de mettre fin à notre échange buccale.
Je l'embrasse doucement sur la joue avant d'atterrir a son oreille que je n'oublie pas d'en mordiller le lobe.

" Ce n'est pas en me provoquant comme tu le fais toujours que tu réussiras à m'avoir dans ton lit heartifilia". Je la lui susurre sensuellement à l'oreille avant de me lève et de prendre mes affaires. Et sans un regard en arrière, je sort de chez elle en n'oubliant pas de claquer la porte.

Je suis irrésistible.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant