Lucy, Ombre de la nuit et de L'Enfer

Les Limbes - PARTIE 3

La lames s'est enfoncé dans le visage de Capucine, au milieu de son front. La plaie n'était pas profonde car elle était encore consciente, ses yeux bougeait dans tout les sens comme pour trouvés les sources de mouvements et des sons qu'elle percevait. Lucy n'a pas daignait réagir à ce qu'elle venait de commettre. Elle semblais apathique, elle fouilla son grand manteau pour y trouver au moins une cigarette, et c'est un paquet complet de Malboro qu'elle attrapa et ouvra, pour y cueillir une tige et la portait à ses lèvres asséchée. Elle tourna les talons pour prendre la porte quand elle entendit des gémissement timide de sa victimes, elle ne pivota que légèrement la tête , et dit d'un ton dure : 

- Il te reste une heure à souffrir, Bon retour en enfer la garce. 

Elle sortit et la porte se referma dans un claquement si lourd, que les échos aurait pu s'entendre jusqu'au fond de toutes les âmes présente, mais pas celle de Lucy. Elle descendit de l'immeuble par le chemin conventionnel, l'escalier. Personne ne semblaient s'être rendu compte de ce qui s'était pas assez, ou plus probablement, tout le monde l'avait consciencieusement ignoré. Arrivé enfin dehors, le brouhaha ambiant de la ville qui ne s'arrête jamais enfonça Lucy dans son indifférence. Elle s'essaya sur le muret qui devancé l'immeuble et n'u qu'à aspirer la cigarette pour la voir s'allumé. Première taffe, elle penses à ce que cela devrait lui faire d'avoir encore une fois envoyé quelqu'un dans les lamentations éternel des Limbes. Car oui c'est ce qu'elle venait de faire. Le rituel qu'elle venait d'effectuer, à pour intention de faire subir à sa victime l'atroce vacarme des supplications des âmes errantes cherchant un sens à leurs perdition de manière éternelle. Lucy n'en n'était pas à son coup d'essai avec cette torture infinie, loin de là. Capucine était la troisième personne a qui il était arrivée une telle chose depuis que Lucy s'essaye aux arts sombres. L'occultisme, la nécromancie, les malédictions et autres sortilèges sont depuis peu un thé quotidien pour  elle. Et tout ça s'est enclenché quand Angélique, une belle femme à la peau noir, à la silhouette athlétique et à la voix chaleureuse se joua d'elle, lui promettant l'amour et les étoiles. Ce en quoi croyait Lucy, le grand amour. Une nuit torride les avait unis, et Lucy n'avait jamais cru autant au bonheur qu'auprès d'Angélique. Mais son amour n'était qu'un subterfuge, Angélique n'avait que faire d'elle. Elle n'étais intéressée que par une chose de sa part. Sa mortalité, son humanité, son âme.

Deuxième taffe, Lucy était sans-âme, on lui avait pris sa vie et la vie qu'elle n'aurait jamais aprés la mort. Condamnée à errer sur terre jusqu'à la fin des temps. Intuable, Inaltérable. Seuls les sort les plus puissant peuvent l'atteindre mais en ces jours, peu en connaisses la force et la maîtrise. Le but de Lucy a toujours était depuis qu'elle a su ce qu'elle était d'abrégé son existence , retrouvé la mortalité et pouvoir mettre fin à cette vie de monstre. Elle a connu rien d'autres que la peine et le dégoût d'elle-même pendant des années à ce demander si il exister un moyen pour que ça vie est un sens à nouveau. Elle chercher cette femme qui l'a maudis mais ne tomber que sur ses sous-fifres. Des apprenties, tout justes bonnes à faire des lectures de taros ou à lires dans le thé. Puis des magiciennes, avec leurs projection astrale et leurs pouvoirs lévitation.   Au fur et à mesure, elle réveiller les monstres endormis sous les visages séduisant de des sorcières. Plus Lucy se battait, plus elle devenait puissante et plus les sorcières de la ville savait qui elle était. Elles traquaient Lucy comme Lucy elle-même les traquai. Elle appris un nombre de choses étonnante pour se défendre et mieux attaquer. Le noms de toutes les personne dans leurs assemblée, qui était les plus puissante et comment les vaincre. 

Troisième taffe, Elle pense à Ayden, l'ami qui à changé son éternité. Il lui a donné une raison d'être. Ensemble iels ont découvert qu'être immortel était plus supportable ensemble. Ayden aussi est spécial, Lucy sais que quand iels devront aller au boulot, iels se reverront, comme si rien n'était arrivé. Comme si cette intense soirée pleine de noirceurs et de douleurs n'était jamais arrivé. Depuis tout ce temps elle n'avait jamais ressenti quelque chose d'aussi proche de la vie que depuis qu' Ayden et elle se sont trouvés. Pouvoir boire un verre et rire de toutes leurs souffrance, taclés des brutes, discuté peintures et cinéma. Ayden est un peu comme son petit frère. Il est plus doux et plus timide et parfois un peu énervant. Mais Lucy l'aime. 

Elle regarde l'heure en tirant sa quatrième taffe et envoie un message à Ayden dont le cadavre dort toujours au cœur de sa marre de sang : 

- On se voit au boulot, j'espère que tu vas bien mangé.

Cinquième taffe, elle se lève et part direction les ruelles de la ville en pensant à son lit qui l'attend. Ce n'est pas comme si elle avait besoin de dormir. Mais elle trouves ça tellement bon de s'échapper loin de la vie en faisant disparaître sa conscience dans les rêves. 

Sixième taffes, le monde sembles s'être éteint pour quelques instant, plus personne n'entoure Lucy, ne la voit ou l'entends. Il semblerais qu'il s'agit de cette instant si rare, où les plus personne n'est là. Cette instant qui précède  le vacarme du réveil urbain. 

Septième taffe, elle marches depuis déjà un moment en revoyant dans sa tête tout ce qu'elle à déjà pensé depuis le moment depuis qu'elle à allumer cette cigarette. Et ce dit que s'est peut être illusoir, que ça n'a aucune valeurs et que quand bien même elle ressent des choses pour Ayden, pour ses ennemis, pour cette ville et son existence. Ça n'a aucun sens, mais elle s'en fout. Tout ce qu'elle veux s'est y croire et on pourrait lui prouvait qu'elle a tort, que lutter ne sert à rien et qu'elle est condamné à juste attendre que l'univers s'arrête qu'elle continuera à aimer, détester, pleurer et rire car toute ses illusions sont la plus belles façon de vivre l'éternité à ses yeux. 

Maintenant à quelques rues de son appartement, elle souries. Une courte mais bien méritée sieste l'attend.