16.Chapitre funèbre♧

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Dédicace à Christelak et Une_camerounaise237
Précédemment
Ok il ne me reste plus qu'à partir à Keur Massar mais d'abord je dois cherché où j'ai mis la pompe à phosgène parce que j'ai vraiment été idiote d'empoisoné Lamine avec ce produit qui prend trop de temps pour le mener à la mort, ça lui donne le temps d'aller à l'hôpital et de se sauver. Fofu la koy fekici.

Maguette Seye

Arrivée, je vais à l'accueil.
- Moi: Bonjour mademoiselle. Je suis là pour voir un patient du nom de Lamine Thiam.
- Demoiselle: Bonjour, êtes vous un membre de sa famille ?
- Moi: Je suis sa femme, mens je.

- Demoiselle: Suivez moi.
Parfait, Je la suis.

- Demoiselle: Voici le couloir, C'est la salle n°16
- Moi: Excusez moi j'ai une envie soudaine d'aller aux toilettes. Pouvez - vous me les montrer et me tenir le sac ?
- Demoiselle: J'ai du travail.
Elle voit une de ses collègues en blouse et masque

- Demoiselle : Ah ma sœur peut-tu lui montrer les toilettes ?
- Demoiselle 2 : Daccord, mais j'ai du travail moi aussi je dois assister une femme sur le point d'accoucher et les contractions peuvent commencez à tout moment. Vous déposez votre sac dans la chambre du patient.
- Moi: En fait j'en ai besoin, excusez moi mais je crois que j'ai mes ragnagnas (règles)
- Demoiselle 2: Je vous comprends, allons-y.

Elle m'accompagne et me montre les toilettes.

Je me mets à trembler et à pleurer. Je fais semblant bien sûre.
- Demoiselle 2 : Qu'y à t-il ?

- Moi: pouvez vous surveiller la porte, dis je en sanglotant ? M

La femme me dévisage
- Madame j'ai du travail.
- Moi: Je.... je.... je...j'ai un peu peur des toilettes parce qu'entre nous, dans ma tendre enfance j'ai été victime de plusieurs viols dans les toilettes, Dis je faussement en sanglots et hésitante.

Automatiquement,elle transforma son visage en une mine compatissante.
- Demoiselle 2: Allons-y.

J'essaie juste de la faire croire que je souffre d'un trouble, c'est trop facile. Je m'assure d'abord que personne ne nous vois.

Arrivées devant la porte de la toilette, je sors de mon sac un marteau. Je tire violemment et rapidement la femme vers les WC et la frappe d'un coup de marteau à la tête. Elle perdit connaissance. Je ne lui laisse pas le temps de parler.

Je m'empare de sa blouse et de ses gants et les enfile je prend mon sac aussi et je ferme soigneusement la porte. Vous ne pensiez tout de même pas que j'allais entrer voir Lamine et qu'il me reconnaisse après le coup que je lui ai fait. Avec ces infirmières partout, il fallait une diversion.

J'entre dans la salle n°16 et je vois Lamine dormir, en plus il ronflait. Ça ne serais vraiment pas drôle de le tuer dans son sommeil. Sinon il ne saura jamais que c'est moi. Je veux lui montrer avant sa mort qu'il ne peut rien contre moi, que c'est moi qui l'ai gagné.

Je m'aproche de son lit. Je le tapote et il ouvre ses yeux.
- Mmh, Madame l'infirmière vous pouvez me donnez à manger, dit t-il

J'enlève le masque chirurgical , il sursaute.
- Lamine: Ioe qu'est ce que tu fais ici ?
- Moi: Je suis venu terminé ce que je j'ai commencé.
- Lamine: Espèce de chienne sort de cette chambre !
- Moi: Apparemment les médecins ont réussi à te sauver de la mort si bien que tu as l'énergie de parler.

Trois Âmes TraquéesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant