Chapitre 3

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je crois qu'on est jamais prêt à voir quelqu'un que l'on aime partir. 



on allait tous les jours à l'hôpital pour le voir. 

des jours il était extrêmement mal, d'autre plutôt bien. 

mais après deux semaines d'endurance, il nous a laissé. 

il ne souffre plus au moins se disait on pour se rassurer. 

le soir de sa mort, j'étais seule chez moi. 

pour essayer d'aller mieux, j'ai parlé à mon meilleur ami mais qui n'a pas réussi à me rassurer suffisamment. 

mais j'ai parlé à cet autre garçon, ce pote que j'avais depuis quelques mois. 

on ne s'était jamais vus mais on s'entendait très bien. 

je lui ai confié ce qui venait d'arriver et il m'a énormément soutenu. 

il était là pour moi au moment où j'en avais le plus besoin. 




et ça valait tout l'or du monde à mes yeux. 

frustrationWhere stories live. Discover now