chapitre 2

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Je suis super fatigué et j'ai mal au derrière. La cause s'appelle Karma. Comme d'habitude, il s'est acharné sur mon pauvre petit derrière mais le pire, c'est qu'il ne m'as pas laissé mettre mon uniforme mais celui des servantes et en plus court.
Sérieux, pourquoi, j'ai accepté comme le con que je suis sous prétexte qu'il peut être gentil ? Alors que moi j'accepte tout.

En plus, aujourd'hui, c'est le jour où nous faisons le ménage de fond en comble au manoir et je vous assure que ça va être gay entre moi qui vais avoir du mal à monter à cause du mal de rein que j'ai, mais aussi car je n'ai pas de sous-vêtements

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En plus, aujourd'hui, c'est le jour où nous faisons le ménage de fond en comble au manoir et je vous assure que ça va être gay entre moi qui vais avoir du mal à monter à cause du mal de rein que j'ai, mais aussi car je n'ai pas de sous-vêtements.

Karma ne voulait pas que j'en mette pour sûrement se rincer l'œil et avoir les mains baladeuses mais à part ça, Monsieur soutient quand même qu'il n'est pas gay mais hétéro et que ce qu'il lui donne envie chez moi, c'est mon physique androgyne.

Je commence par la salle à manger quand il finit de manger, mais il restait quand même dans la pièce pour s'amuser à se jouer de moi.

Comme faire tomber son café où j'ai dû me mettre à quatre pattes le derrière en l'air vers lui pour nettoyer la tâche, il ne s'est pas fait prier pour jouer avec mes fesses comme faire parcourir ses doigts dans mon entrée sachant qu'elle était encore sensible ou même, il m'a donné quelques fessées de quoi bien s'amuser.

Quand ce fût au tour des chambres, il s'amusait à pincer mes tétons à travers le tissu et faisait vagabonder ses doigts sur mon érection.

Le plus éprouvant étais dans la cuisine car quand j'ai dû me mettre, une fois de plus, à quatre pattes pour nettoyer le four il en a profiter pour attraper des glaçons qu'il me rentrais et ressortais dans le derrière où il en stocke huit assez profondément par la même occasion et qui avait eu du mal à passer étant déjà bien remplie et élargie.

Karma : Quoi ? Tu avais l'air d'avoir chaud au cul, je t'aide à le refroidir.

Ce fut un calvaire car quand il les re-rentrer, il faisait bien attention à les mettre le plus profondément en y mettant les doigts.
Bien sûr, comme quoi mon employeur était un sadique ce qui ce confirma quand il rentre son engin d'un coup violent pour accompagner les glaçons ce qui marche car les glaçons seuls avaient déjà du mal à passer et avec lui j'étais beaucoup trop étiré mais surtout les glaçons partaient sur les parois les élargissant davantage au fond.
Comme il me baiser comme un bourin je devais m'élargir nettement plus autant en largeur qu'en profondeur.

Karma : J'ai toujours voulu essayé et t'es encore plus bon avec des trucs dans le cul, il va falloir que je le fasse plus souvent.

Et à moi de m'y habituer car je vais morflé et pas qu'un petit peu, vu comment il reste serrer, eh bien, je ne donne pas chère de mon cul.

Il continue jusqu'à ce que tout les glaçons fondent ressortant pour mieux rentrer de temps à autre, ce qui veut dire que la poche entière avec trente glaçons y est passé assaillan davantage par moment mes fessée où il est allé jusqu'à douze qui était beaucoup trop pour mon pauvre derrière qui était déjà mal en point.

Après ça Karma se calme et me laisse presque tranquille car il gardait, tout de même, les mains baladeuses mais quand la journée fut terminée, j'ai eu le droit de dormir dans ma chambre pour me reposer à mon plus grand bonheur car ce n'est pas souvent que ça arrive.

Je m'endors très vite de fatigue vu les deux jours que venait de me faire passer Karma

À la merci de mon maître Où les histoires vivent. Découvrez maintenant