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Cette fille que t'observes c'est moi, Julie, je demande bien ce que tu penses après vu ce cliché.
C'est quoi ce genre de fille à montrer son corps, tu dis surement que je te juge, et bien c'est exactement ce que je fais, on tous tendance à juger nos confrères non ? Alors pourquoi je priverai de te juger. Tu dus probablement de faire juger aussi non ? Sur ton physique, ta sexualité, sur ce que t'aime ou bien même tes décisions, tu sais ce qui est marrant, le regard des gens me pétrifie et pourtant je te juge, c'est l'arroseur arrosé. J'essaye d'arrêter de juger tu sais aussi bien que moi s'est compliqué, à croire que c'est notre nature, certain disent que le naturel revient au galop. Sommes-nous condamner à être enfermer dans cette spirale du jugement, parce que oui nous jugeons tous volontairement ou malgré nous sans nous rendre compte. Le regard des gens me hante, l'opinion qu'ils ont sur moi me bouffe de l'intérieur, comme si j'étais une marionnette qu'on contrôlé à sa guise. C'est d'une banalité infligent.
Parfois, j'ai qu'une envie c'est de mourir, rejoindre le coma des mortels. Je me dis que si j'étais pas là, les choses seraient plus facile ou peut-être que j'aimerai voir si mon décès affecte quelqu'un. Des fois, j'ai l'impression que c'est peine perdu alors j'aimerai m'achever, pour en finir une bonne fois pour toute. En finir avec toutes ces blessures, ces douleurs et mon mal être persistant. Lui est toujours là, lui ne me quitte pas, comme un chewing-gum accrocher à ma chaussure. Chaque jour est plus dure que le précédent, quelles autres rumeurs il va y avoir sur moi, est-ce que les gens vont croire ces ragots ? Est- ce que tu écoutes les rumeurs ? Ou bien c'est toi qui les lances ? Tu te demandes quelles rumeurs trament à mon sujet. Et bien je vais faire simple, on dit de moi que je suis une pute ou une facile, à toi de choisir de quel côté tu te ranges. Tout ça parce que j'ai accepté de m'unir à quelqu'un, ouais j'essaye de rejouter un peu de douceur à toute ces rumeurs. Et pourtant je n'ai rien ni avec lui, ni avec personne, c'est à peine si j'ai déjà embrassé quelqu'un alors donner à quelqu'un encore moins. Big up à toutes ces personnes sur lesquelles des tonnes de rumeurs s'écroulent. Sais-tu le mal qu'une rumeur peut provoquer, moi je vais te le dire un tourbillon d'émotions qui cohabitent avec toi chaque jour, chaque jour, chaque secondes de sa piètre vie. Sais-tu que les rumeurs coupent les ailes à de magnifiques aigles Royals. Sais-tu qu'il est facile d'écouter ces rumeurs, c'est toujours plus facile que de se faire son propre opinion. Et bien moi je te laisserai te faire ta propre opinion sur moi-même, si tu préfères écouter les autres et bien que ta connerie ne soit pas éternelle, mon père m'a toujours dit que le monde était rempli de cons.
Je suis comme une cigarette, qui consume entre les lèvres, une fois terminée tu la jettes, puis tu en reprends une autre, peut-être qu'on est tous la cigarette de quelqu'un. On est tous le pansement de quelqu'un, et après nous cherchons notre pansement de nouveau une sombre spirale qui planent sur nous autres. Une atmosphère novice tombe des nuages, comme la foudre dans les deux sa risque de faire mal. La foudre fera nous surement moins de dégâts.
