La Malédiction Du Tribunal

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Lucie était née à Londres en 1802, ses parents étant médecin Lucie était destinée à devenir une femme avec un métier important ce qu'elle à fait. A vingts-six ans, elle est avocate à la cour de Londres et est très réputée pour son calme et sa force à défendre même les pires dossiers.

Un jour de décembre proche de la fête de Noël, elle vit entrer dans son bureau un homme, grand, maigre avec les habits déchirés, il dit d'une voix très grave avant même qu'elle puisse dire bonjour:

"Je suis bien au cabinet de Lucie Woolpers?

-Oui monsieur,asseyez vous. Pourquoi avez vous besoin de moi?

-En fait je suis accusé d'avoir tué ma femme..." dit il d'une voix basse et fébrile, elle lui demanda:

-Avez vous le dossier s'il vous plais ?

-Oui bien sur, tenez."

Elle prit le dossier rouge et l'ouvrit: à l'intérieur il était écrit comment le meurtre de la femme s'était déroulé,

l'homme vit le visage de Lucie pâlir il s'interrogea:

"Qu'es qu'il y a madame?

-Et bien, je ne vous cache pas que se sera difficile mais je vais faire en sorte de vous assurer un peine courte ou dans le meilleur des cas rien du tout.

-Merci beaucoup madame."

Le reste de l'entretient fut destiné à établir une défense solide pour le client.

Le jour du procès arriva, il fut bien long, beaucoup de preuve étais en défaveur de l'avocate, elle ne fut pas capable de défendre son client et il fut condamné à la perpétuité, en partant l'homme cria:

" Je vous maudit espèce d'incapable!"

Lucie fut décontenancé  ,rentra chez elle et se mit devant sa coiffeuse et eu l'impression qui lui manquait des cheveux, elle se dit tout simplement que c'étais juste une impression ou alors le stresse du procès.

Plusieurs jours passèrent et rien de spécial ne se passait jusqu'au matin du 25 décembre ou elle se rendit compte que dans son miroir, elle avait l'air beaucoup plus vielle avec des cheveux blancs et une peau ridée. Immédiatement, elle se regarda et tous étais normal, pas de cheveux blancs pas de rides, elle se dit juste qu'elle avait mal dormis et alla à son cabinet.

Elle vit dans le journal du jour que le client qu'elle n'avait pas réussi à défendre s'était échappé, elle paniqua un moment , elle se dit que cet homme essaierait de la retrouver et de lui faire du mal car n'avait pas réussi à le défendre. Après ce moment d'angoisse, elle reprit son travail.

Rentré chez elle, elle avait une grande envie de ce voir dans la glace de sa coiffeuse, et là, tout étais tout à fais normal, elle ce dit alors que ce là matin, elle avait halluciné.

Le matin suivant elle ne voulait pas aller travailler, elle avait comme l'impression que c'était dangereux, elle ce regarda dans la glace et vit le même reflet que la veille et paniqua. Pendant plusieurs jours elle ne reparut pas, puis quand elle se leva, le 20 Janvier, elle vit dans le miroir son reflet normal, celui d'une jeune femme qui allait bientôt avoir vingt-sept ans.

Cependant, quand elle se rendit à son cabinet, tous ses collègues avocats la regardaient, puis un peu plus tard dans la journée, un homme entra dans son cabinet et lui demanda qu'es qu'elle avait fais pour avoir l'air si vielle, quand elle entendit cela elle se regarda et se rendit compte qu'elle ressemblait à son reflet du vingt-cinq décembre, elle paniqua, pris ses affaires et rentra en courant chez elle.

Chez elle, elle se regarda dans le miroir elle vit une vielle dame au cheveux blancs, la peau ridée et presque morte. Elle se frappa croyant qu'elle était en train de rêvée, elle le fit tellement fort qu'elle s'endormit. quand elle se réveilla, elle courra vers son miroir et vit que sa main était totalement squelettique, elle eu la peur de sa vie, elle resta figée telle une statue de pierre pendant plusieurs longues minutes puis repris ses esprits, elle resta une semaine enfermée chez elle, sans se regarder dans la glace.

Un jour l'envie soudaine lui prit de se regarder dans la glace, elle alla vers sa coiffeuse comme un mort va dans sa tombe, s'assit sur la chaise en regardant le mur, tourna la tête, elle venait de se figée, dans sa glace il n'y avait pas le reflet d'une femme mais bien celui d'un squelette...

Une silhouette apparu alors dans la glace: "Vous avez peur n'es se pas maître Woolpers ?" soupira décevement une voix très grave.

Uthopia, Recueil de nouvellesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant