Maudit 27 Janvier !

Lydia

Tout à commencé un 27 janvier, un matin comme un autre enfin semblait-il. Durant la nuit le roi et la reine avait été asassiné sauvagement. D'une façon tellement horrible que même moi qui travaillait depuis 10 ans à leur service, j'avais mis une heure à les identifier. Ils avaient été calcinés par un pouvoir de feu. La police militaire avait été prévenu sûrement par une autre femme de chambre on a jamais su qui. Elle est arrivé immédiatement après qu'une autre bonne soit rentré dans la chambre. La bonne avait hurler en me voyant criant "c'est elle ! C'est cette démone au pouvoir de feu !" Il m'ont immédiatement arrêtée me prenant pour la coupable. Cette bonne femme me haïssait pour avoir pris sa place. J'us beau hurler, griffer, mordre, taper et me débattre les miliraires m'emmenairent en me trainant sur le sol par les cheveux. Je pleurais et hurlais toute ma douleur. Mon crâne me faisait tellement souffrir que j'avais l'impression que ma tête se détachait de mon cou. Il me trainèrent sur des graviers et mes coudes se mirent à laisser des trainées rouges partout oû nous passions. Ils me trainèrent jusqu'aux cachots, une fois à l'intérieur de ce lieu infame, il me balancèrent contre un mur avec tellement de puissance que je perdis connaissance. Le noir m'enveloppa comme un étau de douleur. Je restais 8 mois dans un enfer sans nom. Au bout d'un mois passé sans avoir vu une seule fois la lumière et n'ayant bu que de l'eau qui suintait sur le mur, j'us mon premier repas. Enfin si de la nourriture pour cochon peut porter le nom de repas. Une boulliasse tellement infame que je vomis juste après avoir mangé. Je passais un autre mois sans mangé. J'étais très heureuse pendant ce mois là car je m'étais fais un ami. Il était très gentil mais ne me répondais pas. Je lui parlait tous les jours et il me regardait de ses petits yeux compréhensif. Mais au bout de 3 semaines je l'ai mangé et j'ai découvert que je n'aimais pas le rat, quel dommage ! Il y en avait plein les cachots... A la fin du troisième mois je rigolais continuellement et j'avais les yeux injecté de sang. J'étais tellement maigre que je pouvais compter mes veines et mes cotes. J'avais 24 cotes. Les gardes commencèrent à en avoir marre de moi et avais remarqué à quel point je prenais soin de mes cheveux. Ils décidèrent par pur sadisme et par envie de me faire taire de me les couper. Je sortis de ma cellule et vis de la lumière pour la première fois en 3 mois. Une petite flamme contenu dans du verre tenu par un des gardes. Ils avaient du avoir vent de mon pouvoir de feu. Mais bien que avant même une flamme dans du verre ne m'aurait pas résister, les murs de mon cachots enmpêchait toute utilisation de mon pouvoir. Je n'avais donc pas praticer depuis 3 mois et n'étais pas dans l'état psychologique pour. Ils me rasèrent les cheveux sans aucun autre problème que mes rires de douleur incessant.

Maudit 27 janvier !