Souvent, il se demander pourquoi il se retrouvait la. Il n'avait jamais spécialement voulut cela, et n'avait jamais vraiment eu le choix.
Pourtant, chaque fois qu'il finissait ici, c'était pour pleurer au final.

Alors il avait commencé à s'y habitué. De plus en plus, lorsqu'il venait, il ne pleurait plus. De plus en plus, lorsqu'il venait, il ne criait plus.
Si bien, que le silence c'était infiltrer dans les murs humides de cette pièce.

Quelque fois, il rêvait de la lune, il rêvait de pouvoir voir le ciel. Mais ces rêves étaient souvent chassé par Ça.
Ça, le détruisait de l'intérieur, Ça prenait son corps sans se soucier de lui.

Du plus loin qu'il se souvenait, Ça l'avait toujours garder prisonnier de cette pièce.
Ça l'avait toujours soumis au loi du plus fort.

Lorsque les larmes c'était évaporé, et que l'emprise charnel c'était défaite, il repensait à ses rêves, seul dans la pénombre. Il repensait à la lune, aux étoiles, au ciel décoré de milles lumière. Il rêvait de pouvoir les admirer, de voir autre chose que ce plafond craquelé, de pouvoir s'allonger dans l'herbe fraîche. De dormir dans autre chose qu'un matelas moisis puant la transpiration et tâcher de sang.

Lorsqu'ils étaient arrivé, il avait pu revoir tout cela, il avait pu revoir le ciel, les étoiles et la lune. Ça avait été enfermer. Ça avait disparu. Cependant, son emprise ne c'était jamais défaite. Il le revoyait, il le sentait, il l'entendait.
Ça le poursuivait, le chassait.

Alors il avait ouvert ses bras au ciel. Il avait laissé la corde glisser sur sa peau, avait laissé les larmes couler, avait laisser les pensées se vider. Il le voyait, il voyait Ça, le toucher, le blessé, l'appeurer.
Et enfin, il avait laisser la lune hanté son esprit des derniers instants, jusqu'à ce que Ça disparaissent de sa tête avec lui.

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