Et si Newt était resté vivant.

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Thomas avait passé mon bras autour de son cou, en tenant mon poignet, il me soutenait de toute ses forces. Ma tête était lourdes, j'avais peur, le virus me ronger minute par minute mais mon bras glissa du cou de Thomas.
- Non, Newt reste avec moi, reste avec moi.
je m'effondra au sol, mon poul s'accéléra, mes yeux se ferment. Thomas se baissa et vérifia ma respiration celle-ci était rapide, il se releva et regarda autour de lui, soudain le virus pris le dessus, au loin dans mon esprit j'entendais des cris, quand je repris conscience j'était à moitié assis sur Thomas, le pauvre était allongé par terre, les yeux remplis de larme, je venais de l'attaquer
- Désolé, Thomas désolé.
- t'inquiète Newt, t'inquiète répondit Thomas.
j'attrapa mon flingue qui était sur le côté droit de ma taille et le positionna sur ma tempe, quand Thomas le poussa d'un grand coup en criant "Non", je me mis à lui hurler dessus, je sortit mon poignard qui était au niveau de ma chaussure et le mis sur la poitrine de Thomas, je voulais le tuer puis il me mit sur le dos mais je me releva et l'attaqua avec mon poignard. Thomas intercepta tout les coups, il attrapa mon bras saisit le couteau et le balança au loin.
- je suis désolé Newt mais ne m'en veux pas, dit Thomas.
je ne comprenais pas ce qu'il voulait dire quand soudain un point se dirigea vers moi et m'assoma. Mon corps faible chutant vers le sol mais Thomas me rattrapa et amortie ma chute. Au bout d'un bon moment je senti qu'on m'enfonçais une aiguille dans le bras, puis plus rien, le noir complet.

Je me réveilla dans une pièce où était disposé des médicaments, j'ai supposé une infirmerie, j'était allongé sur un lit puis les souvenirs me revinrent en tête, le virus, ma bataille avec Thomas, son poing mais surtout son visage remplie de larmes, qui me provoqua une drôle de sensation et mes joues devenais rouge mais je me posais plein de question, pourquoi n'était je pas devenu un fondu ? est ce que j'avais fait mal à Thommy ? et où j'étais ? Les questions tournoyait dans ma tête et me donner la migraine. Je me leva du lit et sortie de la pièce, je me retrouva sur le peron d'une sorte de petite cabane et fasse à la mer. Je descendis les quelques marche, remonta le long du chemin et y décrouvi un paysage magnifique et luxuriant de plante verte et de fleur. Ma migraine se calma un peu avec cette petite ballade et l'air frais et marin ébouriffé mes cheveux. Je m'arrêta pour profiter du paysage et du calme qui pour la première fois s'installer en moi. Soudain quelqu'un m'interpella, je tourna ma tête vers cette personne et decouvri un Minho reposé,calme et qui courait vers moi, je fondi en larme et ont se prit dans les bras l'un de l'autre. Notre étreinte dura un moment mais c'était très agréable de retrouver une personne que je connaissais depuis très longtemps ici, ce qui me fit penser que les autres étaient peut être ici eux aussi. Et même peut-être, lui.
- Excuse moi Minho mais tu c'est où je pourrais trouvé Thomas ?
- Oui, il est dans la cabane là bas.
il se retourna et pointa du doigt la cabane, elle était en haut d'une bute de sable avec une vision imprenable sur la mer, je pris congé de Minho et marcha vers la cabane.

Arrivé devant la cabane, je pris ma respiration et grimpa les quelques marches et je le vis, là, adossait à la rambarde en train de regarder la mer au loin. Son visage était si calme, qu'il ne m'avait pas entendu approchait.
- Thomas, dis je d'une voie douce.
En entendant ma voix il sursauta un peu et se retourna vers moi les larmes au bord des yeux, il s'approcha de moi et me pris dans ses bras. Ses bras était dans mon dos et les miens autour de son cou et de temps en temps je passé ma main dans ses cheveux pour le réconforté et je m'y accrocha.

Quand soudain une colère m'envahit, une rage folle qui ne demandait qu'à sortir. Je desserra mon étreinte, le poussa et le plaqua contre le mur de la cabane, j'avais mes mains plaqué sur le haut de son buste et ma tête près de la sienne et je me mis à lui hurler dessus:
- Pourquoi tu ne m'a pas tuer ?! Pourquoi ?! Pourquoi je suis encore en vie ?! Pourquoi ne suis je pas devenu un de ces fichus fondus ?! Hein dis moi ?!
Thomas avait les yeux remplis de larmes et je sentais son coeur s'accélérer sous ma paume de main.
- Parce que je pouvais pas vivre sans toi, je t'ai injecté le sérum pour que tu puisse vivre, je ne me voyais pas continué à vivre sans toi ! Newt je tiens énormément à toi là tu encore jamais compris.
Ma colère s'effaça d'un seul coup et fit place à un autre sentiment, mes joues devenais rouge et je mis une main sur sa joue, les larmes aux yeux.
- Oh, Thommy... dis je d'une voie douce et chargé de sentiment. Toute les épreuves que j'avais surmontés avec lui remonta à la surface, il m'avait toujours protégé et moi de même, on était devenue très vite de bon ami et ses épreuves n'avait que renforcé se lien qu'il y avait entre nous. Mes yeux embués de larmes se posèrent sur Thomas, qui lui me regardé. Quand d'un seul coup il attrapa mon maillot par le col, se qui me fit me rapprocher encore plus de lui, il colla c'est lèvre sur les miennes et les enleva aussitôt pour voir mon expression mais se fut à mon tour et je plaqua mes lèvres sur les siennes, il passa ses bras au tour de ma taille et moi je fit passer les miens autour de son cou et passa mes mains dans ses cheveux tandis que nos baiser se prolongea et se fit plus passionné...

Fin.

Le Labyrinthe ( fanfiction ) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant