Voué à l'échec. »
c'est ce que je crus,
mais tu n'avais surement pas assez
consumer mon âme.
Toi,
venu me rendre des affaires,
un ciel plutôt sombre
ta silhouette dessiné
de façon somptueuse dans ce jean.
Un petit litre d'alcool dans le sang,
et ton cœur décolle.
Tu n'est plus toi, et j'aime ça
car quand tu n'es plus toi,
tu es à moi.
Nous ne sommes plus des enfants,
donc l'intimité de nos corps liés
se font souvenir.
La chaleur de ta peau
contre la mienne,
nos respirations saccadés
ta voix fébrile, ainsi que tes ongles
implanté dans mon dos.
C'est ainsi que j'aime te voir.
C'est ainsi que je me joue de toi.