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☾ Chapitre 5 ☽

PDV YOONGI

Mon coeur se serre de douleur.

Comment peut-il dire une chose pareil ?

Comment peut-il me faire mal avec seulement des mots ?

Malgré moi, des sanglots m'échappe, et tout s'échappe.

Je perd les pédales, je pleure,
comme si toute ses années venaient de me tomber dessus.

Comme si toute la douleur venait de s'enfuir, une fois avoir était découverte.

Et par automatisme, par simple besoin de trouver du réconfort, quelque chose sur quoi écoulé toute ma peine;

Je me retourne vers Hoseok, les yeux ravagé par les larmes.

Je le fixe tout en pleurant, et sans pouvoir me contrôler je le prend dans mes bras en le serrant contre moi, comme une bouée de sauvetage.

Ma bouée de sauvetage.

Il ne me rejette pas, au contraire.

Il fait de même.

Me serrant contre lui a son tour, en ne disant pas un mots.

Les mots ne sont pas forcément utile dans ses moments là de toute façon.

Les gestes reste graver dans le coeur autant qu'eux.

Il commence à me caresser tendrement le haut de mon dos.

Comme pour me dire que tout ira bien.

Et mes sanglots se font moins fort.

La douleur s'apaise.

Et mes larmes coulent moins sur mes joues rougis.

Je ne le lâche pas pour autant.

En même temps...depuis combien de temps n'ai je pas serrer quelqu'un contre moi de pleins gré ?

Beaucoup trop longtemps.

Et franchement, j'attendais cela depuis trop longtemps aussi.

Avoir quelqu'un qui se soucis pour moi.

Pour enfin craqué.

Mon camarade de classe se recule légèrement.

En tenant fermement mes épaules, il pencha légèrement sa tête pour pouvoir me regarder dans les yeux.

- Je pense que tu ne veux pas retourné en cours...je me trompe ?

Je regarde mes pieds en me rendant compte de se qu'il c'est passer, gêner.

- Hmm...effectivement, mais toi vas-y.

Je le regarde pour voir sa réponse, et je fus étonné de voir qu'il il avait un léger sourire au bord de ses lèvres.

Il fit légèrement non de la tête, toujours avec ce même sourire sans me quitter des yeux.

- Je vais rester avec toi, me contredit-il.

Je souffle légèrement, non pas par agacement pour une fois.

Mais belle est bien de soulagement.

Bien sûr que je ne vais pas bien.

Bien sûr que certaines personnes le savent.

Mais comment le dire à voix haute.

Comment expliquer qu'un agacement permanent et qu'une colère inexplicable s'empare de moi chaque jours, tout simplement parce que

Je ne suis pas bien

Je ne vais pas bien.

Les mots sont dur à exprimer, a parler.

C'est donc dans un silence apaisant qu'il s'empare de ma main.

Et qu'il commence a marché.

Je ne sais pas ou il va, je ne sais pas où nous allons.
Mais je me sens un peu près apaiser, bien.

Nous passons les immeubles toujours aussi ternes, puis les maisons un peu plus colorés avec de la légère verdure.

La nature est bien faite je trouve, elle ne juge pas et nous pouvons y pleurer tant de fois que nous voulons, rien ni personnes ne nous contredira.

Mes pensés sont stopper quand je me rend compte qu'il m'a finalement emmenée près d'un lac.

Un lac où je n'avais pas était depuis un moment.

Et des souvenirs refont surfaces.

Des mauvais souvenirs, des bons, des souvenirs heureux qui n'existe plus à présent...

Mais des souvenirs à construire.

- Merci..., soufflais-je.

Il me regarda, surpris.

- Comment ça ?

- Merci de...rah...

Je grogne un peu gêner par ce que  je m'apprêtais à dire. Je n'ai plus l'habitude de parler franchement au personnes. Et sa me bloque.

- Je vais pas te manger, rigola t'il, tu peux parler tu sais.

Je souris alors.

- Merci de pas m'avoir repoussé tout à l'heure. Merci de ne pas m'avoir laisser tomber...de ne pas avoir fait comme tout les autres.