POLICEMAN [J.JK]

Chapitre 1

Alors que je me réveillais lentement, mes yeux s'ouvraient pour découvrir la pièce dans laquelle je me trouvais. La première chose que je remarquait était les menottes à mes poignets qui me maintenait attachée à une chaise.
Il m'était impossible de bouger et ma position actuelle était plutôt désagréable. Comme à mon habitude, j'allais me plaindre. Mais je n'en eut pas le temps puisqu'un homme venait faire irruption dans la pièce plutôt peu lumineuse où je me trouvais.
Cet homme était brun, plutôt grand. Son regard était percent et ses lèvres étaient étirées en un léger sourire malicieux.
J'observais chacun de ses faits et gestes alors qu'il approchait calmement de moi.

-Vous comptez m'interroger ?

J'affichais une expression plutôt neutre, seuls mes yeux renvoyaient par leurs brillances un air de provocation.
Le grand brun semblait ignorer ma phrase insolente. Il s'installe face à moi, posant ses coudes sur la table et soupire légèrement pour exprimer une certaine lassitude.

-Où étiez vous hier soir, vers vingt deux heures ?

Ce fut mon tour de soupirer, cette situation ne me plaisait guerre. Alors je répondais avec un air presque désinvolte.

«Dans mon lit, je suppose.»

Il fallut peu de temps au policier pour comprendre que je n'irais pas dans son sens. Pourtant, un sourire amusé se dessina sur ses lèvres. Comme si la situation actuelle pouvait à tous moment lui être favorable.
Quant à moi, je continuais de glisser mon regard sur l'entièreté de la pièce jusqu'à ce que je me stop sur le badge du représentant de la loi face à moi. Sur celui ci était inscrit son nom et prénom. "Jeon Jungkook".

-À quoi bon mentir ?

Il finit par lâcher, gardant ce sourire sur les lèvres. Ma réponse fut plutôt rapide mais sûrement peu utile pour l'avancement de leur enquête.

«Où voudriez vous que je sois à vingt deux heures ? Si vous posez la question, c'est que vous avez une idée précise du lieu où j'aurais pu me trouver.»

Je souriais à mon tour. Peu à peu, cet interrogatoire commençait à devenir amusant pour moi. Je savais que personne n'avait de preuve concrète contre moi. Alors jouer avec des réponses peu utiles pour les policiers étaient plutôt un bon passe temps.

-Effectivement. Il ajoute. Nos agents vous ont aperçu dans un night club.

Ce sourire amusé sur mon visage disparu rapidement. Ils avaient des preuves ? Je ris finalement. C'était nerveux, mais je devais tout de même rester naturelle et agir comme si tout n'était qu'une simple erreur judiciaire.

«Moi ? Non sûrement pas.»

Le policier face à moi avaient l'air de moins s'amuser d'un coup. Son expression devient plus grave bien qu'il avait toujours ce regard percent qui paraissait cette fois détailler mon corps.

-Je suis sûr que c'était toi.

Après ces mots, je compris qu'il était peut-être temps de me repentir ou.. de chercher une simple échappatoire. Alors sans chercher plus loin, je m'empresse de poser cette question importante à mon avenir.

«Et si j'avoue ? Que ce passera-t-il pour moi ?»

Le brun défais alors un bouton de sa chemise blanche immaculé, son regard maintenant plongé dans le miens.

-Tu ne t'en sortiras pas comme ça, une punition s'imposera.

Ma respiration se bloqua quelques secondes, sous la surprise de ses mots plus que suspect. Allait il me traiter comme un jouet ? Sûrement.. c'est un homme après tout. Ils ont tous été ainsi avec moi.

«Et si je n'avoue pas ?»

Sa réponse fut rapide, comme si il s'attendait à ce que je pose cette question.

-Je t'infligerais les pires tortures jusqu'à ce que tu parles.

Je perdais alors toute assurance. Ce genre de menaces étaient effrayantes bien sûr, mais surtout, la situation ne m'amusait plus du tout.

«Me faire parler ? Je vois. Mon crime est il si grave pour que vous ayez l'autorisation de me traiter de la sortes ?»

Le policier se lève, soupire une deuxième fois depuis le début de cet interrogatoire et vient attraper ma queue de cheval.

-Tu crois qu'un assassinat ce n'est rien ?

Il ne savait rien de ma situation passé et était pourtant prêt à user de son pouvoir pour utiliser mon corps.. Ce genre d'homme me dégoûtait au plus haut point.

«Vous croyez que le viol c'est mieux ?»

Il était apparemment surpris de ma réponse. Mais celle ci semblait toute fois lui convenir puisqu'il lâcha mes cheveux, détacha mes menottes et me regarda dans les yeux.

-Écoute. Tu me dis ce que je veux savoir, ensuite je te libère mais à une condition. Tu devras rester sous ma surveillance.

Cette condition n'était pas la pire, il ne me touchait pas, j'avais ma liberté, pas de prison, ça m'allait.

«Comment puis-je savoir que je peux te faire confiance ?»

À ce moment, il ne semblait pas s'attendre à une telle question. Ceci le fit sourire légèrement.

-Tu es celle de nous deux qui a été mauvaise pour la société. Je suis un agent de police.

J'haussais un sourcil. Étais-je censé être convaincu uniquement par cela alors qu'il semblait avoir des intentions bien différentes il y a peu ?

«Fais moi d'abord sortir. Puis je te dirais.»

[À suivre].

Comment trouvez vous le premier chapitre réécris correctement ? Est il mieux que le précédent ?

Je voulais vraiment supprimer le surplus de sexe de cette fanfiction pour garder le bon file conducteur et surtout supprimer les moments plutôt gênant. À vrai dire je penses que j'avais du mal avec ce genre de passage. Je ne savais peut-être pas comment exprimer des personnages le plaisir autrement que par les gémissements abusifs. Je m'en excuse. J'espère que vous apprécierez la réécriture de cette fanfiction !

De plus, je penses réécrire celle ci dans sa totalité pour pouvoir me concentrer sur une nouvelle histoire.

Pour pouvoir dialoguer avec vous mes très chères abonnés, j'aimerai s'il vous plais que vous n'hésitiez pas à aller voir mon profil où je poste parfois des petits mots pour vous prévenir de certaines choses. J'aimerai aussi faire plusieurs sondages. C'est pourquoi j'espère que vous pourrez y répondre.

Sauf si vous préférez que je pose mes questions à la fin de mes chapitres ? Dites moi !